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L’Organisation du Monde Islamique pour l’Éducation, les Sciences et la Culture (ICESCO) a participé à la 15e édition de la Conférence internationale intitulée : « Valeurs et idéaux dans l’Islam : préservation des valeurs spirituelles et morales traditionnelles au sein de la famille, et promotion du dialogue, de la paix et de l’harmonie entre les religions et les ethnies », organisée les 25 et 26 septembre 2024 par la Direction spirituelle des musulmans de Russie et l’Université islamique à Oufa, Bachkortostan, en République fédérale de Russie. Cet événement, en collaboration avec plusieurs institutions, a réuni un panel d’experts, de responsables éducatifs de Russie et des pays du monde islamique, ainsi que des représentants religieux musulmans et chrétiens de diverses régions de Russie.

L’ICESCO a été représentée lors de cette conférence par M. Adel Bouraoui, Conseiller du Directeur général chargé des organes externes de l’ICESCO dans le domaine de la langue arabe. Dans son allocution, prononcée lors de la séance d’ouverture, il a présenté la vision de l’ICESCO, qui accorde une grande importance aux questions de cohésion sociale, de solidarité familiale et d’éducation au dialogue et à la coexistence. Il a également souligné l’appel de l’Organisation à renforcer le rôle de la famille et de l’école dans l’éducation des jeunes générations aux valeurs éthiques.

Par ailleurs, M. Bouraoui a présenté plusieurs nouvelles initiatives de l’ICESCO en lien avec le thème de la conférence, telles que le lancement de l’initiative pour la création d’un concept de diplomatie civilisationnelle, la mise en place de la « Chaire ICESCO pour la langue arabe au service du dialogue et de la coexistence » à l’Université islamique russe à Oufa, ainsi que le lancement, en coopération avec la Rabita Mohammadia des Oulémas du Royaume du Maroc, des deuxième et troisièmes tomes de l’Encyclopédie sur la déconstruction du discours extrémiste.

L’Organisation du Monde Islamique pour l’Éducation, les Sciences et la Culture (ICESCO) a lancé, ce mercredi 25 septembre 2024, une série de conférences et d’ateliers de formation sur le leadership dans les politiques culturelles au profit de ses États membres. Cette initiative s’appuie sur les études et recherches menées par l’ICESCO dans divers domaines, notamment l’économie culturelle numérique, l’économie violette, les technologies créatives, les droits et indices culturels, et les indicateurs de l’ICESCO pour évaluer les politiques culturelles dans ses États membres.

Cette série, qui s’étendra sur une durée d’un an et demi avec un atelier ou conférence chaque mois, a débuté par un premier atelier de formation organisé via visioconférence.

La séance était présidée par Dr Mohamed Zine El Abidine, Chef du Secteur de la Culture et de la Communication de l’ICESCO, et animée par Dr Youma Fall, ministre-conseiller auprès du Président de la République du Sénégal, et Dr Rim Jallouli, experte externe spécialisée dans les politiques culturelles. Environ 40 experts issus des États membres de l’ICESCO ont participé à cette séance.

Lors de l’ouverture de l’atelier, Dr Zine El Abidine a présenté la nouvelle stratégie de l’ICESCO en matière de politiques culturelles dans le monde islamique, en soulignant son importance dans le cadre des efforts de développement durable. Il a également mis en avant les indices de l’ICESCO relatifs aux politiques culturelles dans les États membres, et affirmé la nécessité pour les parties concernées de les adopter et de les mettre en œuvre.

Par la suite, Dr Rim Jallouli a mis l’accent sur l’importance des indices culturels et des objectifs stratégiques de l’Organisation, qui visent à recueillir les besoins et objectifs culturels des États membres tout en adaptant les indices à leurs spécificités, afin de les aider à élaborer des politiques culturelles adéquates.

Quant à Dr Fall, elle a souligné le rôle crucial de la numérisation en tant qu’outil pour soutenir les efforts de développement culturel, notamment par la fourniture de statistiques, qui constituent des éléments essentiels dans l’élaboration des politiques culturelles. De même, elle a insisté sur la nécessité de former les professionnels du secteur culturel et de les sensibiliser à l’importance de la numérisation, et salué les efforts de l’ICESCO visant à soutenir les politiques culturelles.

L’atelier a été marqué par des discussions et des interventions enrichissantes de plusieurs experts de l’ICESCO et de spécialistes issus de ses États membres. Ces échanges ont porté sur l’importance des indices culturels dans le développement durable et leur rôle dans l’élaboration des politiques culturelles des pays.

Dr Abdelilah Benarafa, Directeur général adjoint de l’Organisation du Monde Islamique pour l’Éducation, les Sciences et la Culture (ICESCO), a participé aux travaux du 20ème Forum islamique mondial, tenu par ledit Forum, la Direction spirituelle des musulmans de Russie et le Conseil de la Choura des muftis de Russie, du 20 au 22 septembre 2024 à Moscou, sous le thème : « Le chemin vers la paix : le dialogue comme base de la coexistence harmonieuse ».

Dr Benarafa a prononcé le discours de l’ICESCO lors de ce Forum, auquel ont participé des chefs et représentants d’institutions religieuses internationales, des universitaires de haut niveau d’institutions de recherche et d’enseignement, ainsi que des représentants d’organismes gouvernementaux et d’institutions sociales des pays du monde islamique et des religions traditionnelles du monde.

Lors des activités du Forum islamique international, le Directeur général adjoint de l’ICESCO a assisté à la cérémonie d’ouverture de l’exposition « Le Coran d’Othman » et « Les Pactes de Crimée ».

La tenue de ce Forum cette année intervient à l’occasion du 1200ème anniversaire de la naissance de l’imam al-Tirmidhi, du 200ème anniversaire de la mosquée historique de Moscou, du 165ème anniversaire de la naissance du mufti Rida al-Din Fakhr al-Din, du 120ème anniversaire de la Grande Mosquée de Moscou, du 30ème anniversaire de la fondation de l’Administration religieuse des musulmans de la Fédération de Russie et de l’Institut islamique de Moscou, ainsi qu’à l’occasion de l’Année de la famille musulmane en Russie .

Dr Abdelilah Benarafa, Directeur général adjoint de l’Organisation du Monde Islamique pour l’Éducation, les Sciences et la Culture (ICESCO), a participé en tant qu’invité d’honneur à la 25ème édition du Salon international du livre de Bagdad, qui se tient du 12 au 22 septembre 2024, sous le thème « L’Irak lit », sous le patronage du Premier ministre irakien Mohammed Shia’ Al Sudani. Outre la participation de haut niveau de nombre de ministres, de responsables, d’écrivains et de penseurs de l’Irak et d’ailleurs, S.E. Abdul Latif Jamal Rashid, Président de la République d’Irak, a également effectué une visite audit Salon.

Dr Benarafa a participé à une table ronde sur « La biographie imaginaire dans la création littéraire », qui s’est tenue dans la salle des conférences du Salon, et a donné lieu à des discussions riches et ouvertes avec les participants.

La participation du Directeur général adjoint de l’ICESCO à cet événement s’inscrit dans le cadre de l’approche de l’Organisation visant à promouvoir les domaines de l’éducation, des sciences et de la culture, et à appuyer la créativité et l’innovation par le biais de plusieurs initiatives, programmes et projets.

L’Organisation du Monde Islamique pour l’Éducation, les Sciences et la Culture (ICESCO) invite les chercheurs, spécialistes et étudiants de troisième cycle à participer à la Conférence internationale intitulée « Compétences et métiers de demain en Afrique », tenue en partenariat avec l’Institut des Hautes Études de Management (HEM) au Royaume du Maroc. Les participants sont invités à soumettre des articles scientifiques qui seront évalués par un jury d’experts. Les articles sélectionnés seront présentés lors de la Conférence, qui se tiendra du 10 au 12 décembre 2024 à Tanger, au Royaume du Maroc.

Les articles soumis devront aborder l’un des thèmes de la Conférence, à savoir : l’évolution des compétences et des métiers en Afrique et les facteurs déterminants pour l’avenir de ce continent, le rôle de l’éducation, de la culture, de la jeunesse, et de l’égalité des sexes, ainsi que le développement industriel, les transformations numériques et les opportunités offertes par l’IA. Ces contributions viseront à mieux préparer l’Afrique aux défis et aux opportunités à venir.

Les candidats intéressés doivent soumettre leurs projets d’articles au format PDF via la plateforme en ligne : https://bit.ly/4fakYqU , et respecter les directives énoncées dans la note conceptuelle et les conditions suivantes :

• L’article doit être authentique, conforme aux normes de la recherche scientifique, et aligné avec les thématiques de la Conférence, détaillées dans la note conceptuelle.
• Le jury encourage les études de cas, les propositions de thèses de doctorat et les études empiriques présentant des idées novatrices visant à renforcer le développement de la main-d’œuvre, à améliorer l’éducation, et à développer les stratégies économiques en Afrique.
• Les articles peuvent être rédigés en arabe, en anglais ou en français.
• La date limite de soumission des projets d’articles est fixée au 5 octobre 2024 (maximum 5 pages).
• Les résultats de la sélection seront annoncés le 31 octobre 2024.
• La version complète de l’article, ne dépassant pas 15 pages (y compris les références et annexes), devra être soumise avant le 20 novembre 2024.

Tous les articles soumis feront l’objet d’une évaluation rigoureuse par un jury afin d’en garantir la qualité scientifique et l’authenticité. Les auteurs des articles sélectionnés seront invités à présenter leurs travaux lors de la Conférence. En outre, les articles du congrès bénéficieront d’une large diffusion académique, avec publication dans une revue scientifique à comité de lecture, et inclusion dans une publication spéciale retraçant les travaux de la Conférence.

Pour toute demande d’information supplémentaire, veuillez contacter les adresses mail suivantes :

• ICESCO Strategy@icesco.org
• HEM: hemresearchcenter@lcieducation.com

L’Organisation du Monde Islamique pour l’Éducation, les Sciences et la Culture (ICESCO) saisit l’occasion de la Journée internationale de l’alphabétisation, célébrée chaque 8 septembre et placée cette année sous le thème : « Promouvoir l’éducation multilingue : L’alphabétisation pour la compréhension mutuelle et de la paix », pour appeler à intensifier les efforts visant à promouvoir l’alphabétisation, à en améliorer la qualité et à en maximiser les avantages pour favoriser la compréhension mutuelle et la paix. L’ICESCO souligne également la nécessité d’adopter des méthodes préventives et proactives pour éradiquer les causes de l’analphabétisme au lieu de se contenter d’adopter des mécanismes réparateurs pour traiter ce phénomène.

Convaincue de l’importance de soutenir l’alphabétisation et l’éducation inclusive et équitable pour tous, l’ICESCO met l’accent, dans le cadre de sa mission et de sa vision stratégique, sur l’éducation en tant que droit de l’homme, en sensibilisant à la nécessité de lutter contre l’analphabétisme et en se concentrant sur les catégories marginalisées et les plus pauvres, en particulier les filles et les femmes. Elle souligne également la nécessité de mobiliser des ressources financières suffisantes et d’augmenter les investissements alloués à ce domaine, en plus de fournir davantage de ressources éducatives ouvertes et gratuites de haute qualité.

Reconnaissant le rôle de l’éducation dans la promotion du développement humain, l’ICESCO a fait du soutien aux programmes d’alphabétisation dans ses États membres une priorité absolue. Les progrès accomplis dans ce domaine n’étant pas suffisants, la réalisation de cet objectif exige des efforts accrus et une coopération internationale dans un contexte mondial marqué par l’existence de 765 millions de jeunes et d’adultes analphabètes, dont les deux tiers sont des filles et des femmes, ainsi que par la prévalence de disparités dans l’accès aux programmes d’alphabétisation et la faible participation des pauvres et des groupes les plus nécessiteux et les plus démunis.

Dans notre monde en constante évolution, où la technologie occupe une place de plus en plus importante et où les cultures sont diverses, il est plus important que jamais de doter les individus d’une approche éducative multilingue et fondée sur la langue maternelle. Cette approche joue un rôle essentiel dans l’amélioration des compétences en lecture et en écriture, dans l’encouragement de la compréhension mutuelle et du respect de la diversité culturelle, dans le but de soutenir les efforts visant à construire des sociétés plus justes et plus pacifiques et offrir aux individus de vastes perspectives d’apprentissage continu.

Le Secteur des Sciences et de l’Environnement relevant de l’Organisation du Monde Islamique pour l’Éducation, les Sciences et la Culture (ICESCO), en partenariat avec l’Organisation islamique pour la sécurité alimentaire (OISA) et l’Université nationale kazakhe agrotechnique, a tenu un atelier de formation sur « l’utilisation des biotechnologies pour une agriculture durable : tirer parti du potentiel agronomique du biochar ».

L’ICESCO a été représentée lors de cet atelier, tenu les 28 et 29 août 2024 à Almaty, en République du Kazakhstan, par Dr Fahman Fathurrahman, expert au Secteur des Sciences et de l’Environnement, qui a réitéré la volonté de l’Organisation à soutenir les États membres pour investir dans des pratiques agricoles durables.

L’objectif de l’atelier est de doter les participants de connaissances pratiques sur l’utilisation de la technologie du biochar en agriculture. La première journée a été consacrée à la présentation du biochar, notamment sa capacité à fertiliser les sols et à augmenter les rendements des cultures. Les participants ont également bénéficié d’un partage d’expériences des pays d’Asie centrale concernant l’utilisation du biochar, et exploré les opportunités et défis liés à la promotion de l’agriculture durable dans la région.

Quant à la deuxième journée, les participants ont visité l’Institut kazakh de recherche sur l’agriculture et la culture des plantes, où ils ont pu observer les différentes étapes de la production de biochar et découvrir les machines utilisées dans ce domaine.

L’Organisation du Monde Islamique pour l’Éducation, les Sciences et la Culture (ICESCO) annonce la désignation de Dr Haddy Jatou Sey, ancienne ministre de l’Enseignement de Base et secondaire de la République de Gambie, au poste de Cheffe de son Secteur de l’Éducation.

Dr Haddy Jatou Sey a été sélectionnée pour occuper ce poste privilégié en raison de ses expériences distinguées et de sa carrière longue et diversifiée dans l’éducation, le développement communautaire et la coopération internationale. Elle fut en effet conseillère internationale auprès de la Banque africaine de Développement et a occupé plusieurs postes prestigieux à la Banque mondiale depuis son arrivée en 1996, de même qu’elle fut spécialiste principale en développement social à la Banque, puis consultante internationale jusqu’en 2022 à la même institution. Elle a également travaillé comme consultante en matière de genre et d’éducation à l’Institut de recherche américain en Virginie, entre 1997 et 2001, et à l’International Creativity Partners Foundation « Creative » entre 1999 et 2003. Elle a aussi de nombreuses publications de recherche sur l’éducation des filles, le genre et l’éducation participative.

Lors de son mandat à la tête du Secteur de l’Éducation, l’un des principaux secteurs de l’ICESCO, Dr Haddy Jatou Sey s’efforcera d’atteindre les objectifs de l’Organisation en matière de développement et de renforcement de l’éducation dans les États membres, à savoir la contribution aux efforts visant à assurer à tous une éducation équitable, inclusive et de qualité et à garantir l’apprentissage tout au long de la vie pour tous, Il s’agit aussi de développer des programmes et méthodes éducatifs pour stimuler l’innovation en tirant parti des développements rapides observés dans la technologie et les applications de l’intelligence artificielle, et d’atteindre la qualité et la gouvernance du système éducatif dans les pays du monde islamique.

À cet égard, la Direction générale de l’ICESCO félicite la Cheffe du Secteur de l’Éducation pour cette désignation, lui souhaitant plein succès dans sa mission visant à contribuer à la réalisation des nobles objectifs de l’Organisation.

L’Organisation du Monde islamique pour l’Éducation, les Sciences et la Culture (ICESCO) publie une étude sur la variole du singe, réalisée par le Département de Santé publique et de Médecine préventive de la Faculté de médecine vétérinaire de l’Université de Hama en Syrie, sous la direction de Prof. Darem Tabbaa, en s’appuyant sur 91 références scientifiques.
L’étude comprend une définition de la variole du singe, ses facteurs, voies de transmission, symptômes et signes d’infection, ainsi que les méthodes de prévention et de traitement.

L’étude indique que la variole du singe est une maladie virale zoonotique causée par un virus qui affecte principalement les animaux dans les régions de forêts tropicales humides d’Afrique centrale et occidentale, et se transmet lorsqu’une personne ou un animal entre en contact avec le virus via un autre animal, une personne ou des matériaux contaminés, le virus pénétrant dans le corps par les lésions cutanées, le système respiratoire ou les muqueuses.

L’étude détaille les symptômes et signes d’infection par le virus de la variole du singe chez les animaux et chez l’homme, généralement caractérisés par trois formes d’infection, commençant par des signes bénins dans les voies respiratoires supérieures, suivis d’une éruption cutanée, puis de lésions dans les muqueuses et de difficultés respiratoires, puis d’une pneumonie bronchique.

Elle précise également que la prévention primaire de la variole du singe inclut la vérification de l’absence de la maladie dans le pays ou la région où vit une personne, tant chez les animaux que chez les humains. Dans les zones où la maladie est apparue, il est nécessaire de surveiller les animaux importés ou accompagnant les voyageurs, et de mettre en place des stratégies nationales conjointes entre les institutions de santé publique et de santé vétérinaire.

Les détails de l’étude sont disponibles et téléchargeables via le lien suivant : https://icesco.org/xqd2

En présence de Mme Fatoumata Bah-Barrow, Première Dame de la République de Gambie, l’Organisation du Monde Islamique pour l’Éducation, les Sciences et la Culture (ICESCO), en partenariat avec la Commission nationale gambienne pour l’UNESCO et l’ICESCO, et la direction des forêts du ministère gambien de l’Environnement, du Changement climatique et des Ressources naturelles, a lancé une initiative pour produire 10 000 plants en Gambie dans le cadre de l’ambitieux programme de l’Organisation visant à produire 500 000 plants dans les pays du monde islamique.

La cérémonie d’ouverture du projet, a été tenue jeudi 8 août 2024 à Banjul, capitale de la Gambie, en présence de nombre de personnalités de haut niveau, de responsables et de spécialistes dans le domaine de la préservation de l’environnement et de la biodiversité. Dans son allocution, Dr Fahman Fathurrahman, expert au Secteur des Sciences et de l’Environnement, a réaffirmé l’engagement de l’ICESCO à soutenir et protéger l’environnement et le développement durable dans les États membres, et a passé en revue les efforts et les multiples initiatives de l’Organisation dans le domaine de la restauration des écosystèmes dégradés, de la valorisation des ressources naturelles et du soutien au développement durable dans les communautés rurales.

La version gambienne du projet vise à produire 10 000 plants, à reboiser 20 hectares de terres dégradées dans trois régions de huit provinces, à distribuer des plants de manguiers et d’orangers et à planter des plants de palétuviers dans les zones côtières, afin de réhabiliter les jeunes et soutenir les capacités des femmes dans les zones rurales, de contribuer à la création d’emplois et de renforcer les écosystèmes locaux.

Le projet a connu un grand succès en Mauritanie et au Togo, et a permis de planter 40 000 plants de différentes variétés et de reboiser 85 hectares de terres dégradées.