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    L’ICESCO participe au Forum international de Saint-Pétersbourg pour le dialogue interreligieux

    L’Organisation du Monde Islamique pour l’Éducation, les Sciences et la Culture (ICESCO) a participé au Forum international de Saint-Pétersbourg pour le dialogue interreligieux, qui s’est tenu le 7 septembre 2021 à Saint-Pétersbourg en Russie sous le thème « Domaine religieux: activité spirituelle dans le cadre de la gestion de la situation épidémiologique », et ce, dans le but de renforcer les bases du dialogue scientifique et religieux, et de montrer que les véritables enseignements religieux cherchent à parvenir à la paix, à la coexistence et au respect mutuel, notamment en ces temps de crise sanitaire.

    Dans son allocution prononcée au nom de l’ICESCO, l’Ambassadeur Khalid Fathalrahman, Directeur du Centre pour le dialogue civilisationnel de l’Organisation, a souligné que le forum constitue une occasion précieuse pour instaurer des mécanismes nouveaux et innovants pour faire face aux tensions et aux doutes imposés par la pandémie concernant l’avenir, dans l’esprit du dialogue interreligieux et de la coopération des cadres et des institutions civilisationnelles.

    Il a affirmé que la valeur de la religion dans la vie des personnes s’était manifestée pendant la pandémie de la COVID-19, nonobstant moults tentatives de l’exclure du mouvement culturel et économique général, en notant que les enseignements religieux ont servi de catalyseur pour les individus et les sociétés à adopter les valeurs de sacrifice, d’altruisme et d’abnégation, et ont mis en exergue la flexibilité de la religion et sa capacité d’assimiler les transformations malgré la constance des enseignements et la spécificité du culte, et en appelant à profiter de ces expériences de sorte à permettre au système religieux de faire entendre sa voix civilisationnelle.

    Il a également passé en revue les efforts de l’ICESCO déployés dans ce domaine, notamment la tenue du Forum virtuel mondial des chefs religieux qui a recommandé la nécessité de préserver la dignité humaine en garantissant le droit à la foi et au respect des croyances religieuses, et la Conférence internationale sur les valeurs civilisationnelles dans la Sîrah du Prophète qui a pu prouver la capacité des messages célestes à diffuser l’esprit de paix dans le monde, en sus de la contribution à la publication de la première partie de l’Encyclopédie sur la «Déconstruction du discours d’extrémisme», qui fournit une documentation de base aidant à retracer les concepts liés au sujet et à développer des moyens susceptibles de faire face au phénomène du terrorisme.

    En conclusion de son allocution, l’Ambassadeur Khalid Fathalrahman a souligné que les efforts de l’Organisation visent à instaurer un cadre de solidarité pour établir les fondements d’une vie humaine axée sur le renforcement de la paix et de la sécurité internationale, le rejet de la haine, la diffusion de l’esprit de tolérance, l’encouragement des courants d’action novatrice profitant à l’humanité et le soutien à la littérature, aux arts et aux sciences.

    La session de l’ICESCO sur le Laboratoire de la littératie des futurs clôture ses travaux à Marrakech

    Jeudi 9 septembre 2021 à Marrakech, la session de formation sur le « Laboratoire de la littératie des futurs », organisée par le Centre de Prospective stratégique de l’Organisation du Monde Islamique pour l’Éducation, les Sciences et la Culture (ICESCO), en coopération avec l’UNESCO et l’Université Cadi Ayyad au Royaume du Maroc, a clôturé ses travaux qui ont duré trois jours et ont profité à 60 étudiant-e-s de ladite université. Le but de cette session était de renforcer la culture de prospective et de mettre en avant son importance dans la prise de décision.

    Dans son allocution prononcée à l’ouverture de la session de formation, Dr Moulay Lhassan Hbid, Président de l’Université Cadi Ayyad, a souligné que la session présente un nouveau modèle éducatif et fournit aux étudiants nombre de mécanismes innovants pour anticiper et planifier l’avenir. Il a également indiqué qu’il est nécessaire de former les jeunes aux compétences des métiers de demain et leur apprendre à s’adapter aux changements futurs.

    De son côté, Dr Kais Hammami, Directeur du Centre de Prospective stratégique a mis l’accent sur l’importance du développement de la pensée stratégique dans le monde islamique afin de planifier les différents changements futurs. Et de préciser qu’il est important d’organiser ce genre de formations et de mener des études stratégiques sur les compétences et métiers, notamment dans le cadre des défis auxquels sont confrontés les pays du monde islamique.

    De même, Dr Hammami a souligné que l’ICESCO a créé le Centre de Prospective stratégique en vue de promouvoir la culture de prospective dans ses États membres pour réaliser le développement durable, encourager les études prospectives, renforcer la diplomatie stratégique à travers l’établissement de partenariats avec les centres de recherche scientifique à travers le monde, ainsi que mettre en place des mécanismes de suivi et d’examen.

    Par ailleurs, Dr Riel Miller, Chef du Programme de la Littératie des Futurs à l’UNESCO, a mis l’accent sur l’importance de l’échange de connaissances et d’expertise, eu égard au manque d’études sur la prospective. Et d’ajouter que le développement des domaines écologique, économique et culturel est tributaire de la manière sont les individus voient l’avenir.

    Cette session de formation relève d’un programme lancé par le Centre de Prospective stratégique portant sur l’organisation de sessions similaires en faveur des universités, sociétés et parties compétentes de la société civile dans les États membres de l’ICESCO, le but étant de renforcer la culture de prospective et les compétences des individus et institutions en anticipation du futur.

    Le Directeur général de l’ICESCO reçoit le Chargé d’affaires de l’ambassade du Togo à Rabat

    Dr Salim M. AlMalik, Directeur général de l’Organisation du Monde Islamique pour l’Éducation, les Sciences et la Culture (ICESCO) s’est entretenu, jeudi 09 septembre 2021 au siège de l’Organisation à Rabat, avec M. Messan Amakoé Klutse, Chargé d’affaires de l’ambassade du Togo auprès du Royaume du Maroc, afin d’examiner les perspectives de coopération entre le Togo et l’ICESCO dans les domaines de compétence de celle-ci.

    Au début de cette entrevue, Dr AlMalik a félicité M. Klutse à l’occasion de sa prise de fonction en tant que Chargé d’affaires de l’ambassade du Togo à Rabat, en lui souhaitant plein succès.

    Aussi a-t-il passé en revue les principaux axes de la vision et de la stratégie d’action de l’Organisation, et les domaines auxquels elle attache un intérêt particulier, notamment la prospective stratégique, l’intelligence artificielle, les sciences spatiales, l’éducation pour la paix, la consolidation des valeurs de coexistence et de dialogue, et l’inscription des sites historiques et éléments culturels sur la Liste du patrimoine dans le monde islamique.

    Il a également présenté les activités et programmes majeurs mis en œuvre par l’ICESCO au cours de la dernière période et pendant la pandémie de la COVID-19, surtout dans le continent africain en vue de contrer les répercussions négatives de cette crise, et ce, en coopération avec les institutions donatrices et en coordination avec les parties compétentes de chaque État.

    De même, les deux responsables ont examiné les perspectives de coopération entre l’ICESCO et le Togo dans les domaines de l’éducation, des sciences et de la culture, soulignant leur disposition à établir une coopération fructueuse.

    De son côté, le Chargé d’affaires a salué les rôles déployés par l’ICESCO dans ses domaines d’action, et précisé qu’il fera tout son possible pour faire bénéficier le Togo des programmes et activités mis en œuvre par l’Organisation.

    Le Directeur général de l’ICESCO rencontre l’Ambassadeur du Tchad à Rabat

    Dr Salim M. AlMalik, Directeur général de l’Organisation du Monde Islamique pour l’Éducation, les Sciences et la Culture (ICESCO), a reçu M. Mahamat Abdelrassoul Mahamat Lamine, Ambassadeur de la République du Tchad auprès du Royaume du Maroc, avec lequel il a examiné les perspectives de coopération entre l’ICESCO et le Tchad dans les domaines d’action de l’Organisation.

    Au début de cette entrevue, qui a eu lieu ce mercredi 8 septembre 2021 au siège de l’ICESCO à Rabat, Dr AlMalik a félicité l’Ambassadeur Lamine pour le projet intitulé «Enseignement bilingue de la langue arabe au Tchad», élaboré par le Centre Pédagogique Régional du Tchad avec le concours de la Banque Arabe pour le Développement Économique en Afrique, lequel figure parmi les trois projets pédagogiques et éducatifs distingués dans le monde islamique à avoir remporté l’un des prix de la 2e Edition du Prix ICESCO – Hamdan Bin Rashid Al Maktoum pour le bénévolat pour le développement des infrastructures éducatives dans le monde islamique.

    Pour sa part, l’ambassadeur tchadien a remercié l’ICESCO et son Directeur général d’avoir organisé ce prestigieux prix, se déclarant ainsi fier du triomphe d’un projet mis en œuvre au Tchad parmi les dizaines de projets nominés de partout dans le monde islamique.

    L’entrevue a porté sur l’évolution de la coopération entre l’Organisation et le Tchad, notamment les performances exceptionnelles du Centre Pédagogique Régional de l’ICESCO à N’Djamena et la construction de l’école primaire pilote qui en dépend, le but étant de faciliter l’accès à l’apprentissage de la langue arabe et à un enseignement de qualité, d’assurer l’égalité des chances pour les deux sexes, et de soutenir le système éducatif tchadien visant à appliquer le bilinguisme arabo-français.

    A l’issue de cet entrevue, les deux parties ont réitéré la poursuite de la coopération entre l’ICESCO et le Tchad dans les domaines de l’éducation, des sciences et de la culture, à travers davantage de communication avec les autorités compétentes au Tchad et l’identification de leurs priorités dans ces domaines en vue de concevoir des programmes appropriés.

    Examen du développement de la coopération entre l’ICESCO et le Gabon

    Dr Salim M. AlMalik, Directeur général de l’Organisation du Monde Islamique pour l’Éducation, les Sciences et la Culture (ICESCO) s’est entretenu, mercredi 8 septembre 2021 au siège de l’Organisation à Rabat, avec M. Sylver Aboubakar Minko-Mi-Nseme, ambassadeur de la République du Gabon auprès du Royaume du Maroc, afin d’examiner le développement de la coopération entre l’ICESCO et le Gabon dans les domaines de l’éducation, des sciences et de la culture.

    Lors de cette entrevue, il a été procédé à l’examen de plusieurs questions qui constitueront le début d’un nouveau partenariat entre l’Organisation et le Gabon et feront l’objet d’entretiens entre le Directeur général de l’ICESCO et les hauts responsables gabonais lors de sa prochaine visite officielle qui aura lieu en octobre 2021. Dans le même sillage, les deux responsables ont traité nombre de propositions, à savoir la création d’une chaire ICESCO au sein d’une université gabonaise, l’examen de la création d’un centre d’enseignement de la langue arabe pour les non arabophones, et l’organisation de conférences et d’activités conjointes au Gabon, dont une caravane médicale et éducative.

    Aussi ont-ils abordé l’importance d’inscrire les sites historiques du Gabon sur la Liste du patrimoine dans le monde islamique, la coopération dans le domaine du dialogue civilisationnel, auquel l’Organisation attache une attention particulière à travers la création du Centre de l’ICESCO pour le dialogue civilisationnel, étant donné que le Gabon constitue un modèle distingué de coexistence et de paix.

    Pour sa part, l’ambassadeur gabonais a précisé que son pays se félicite de la prochaine visite du Directeur général, soulignant la disposition du Gabon à renforcer la coopération avec l’ICESCO dans ses domaines de compétence.

    Journée internationale de l’alphabétisation : L’ICESCO appelle à révolutionner le concept de l’alphabétisation et à l’étendre pour inclure les compétences numériques

    À l’occasion de la célébration de la Journée internationale de l’alphabétisation (8 septembre), l’Organisation du Monde Islamique pour l’Éducation, les Sciences et la Culture réaffirme l’importance du rôle de l’éducation dans l’autonomisation de l’humain et le façonnement de l’avenir, et la nécessité de garantir le droit à l’éducation pour tous, et souligne l’importance de l’alphabétisation comme pierre angulaire de l’apprentissage tout au long de la vie. Dans le cadre de sa nouvelle vision, l’ICESCO accorde une priorité élevée à l’alphabétisation, étant donné qu’elle contribue de manière significative à faire progresser le développement durable, à améliorer les conditions de vie et de santé, et à assurer le bien-être humain, la cohésion sociale et la coexistence pacifique.

    Les progrès réalisés en l’alphabétisation ne sont pas suffisants, car à l’échelle mondiale, 773 millions de jeunes et d’adultes ne disposent pas des compétences de base en lecture et en écriture, tandis que 617 millions d’enfants et de jeunes n’ont pas les moindres compétences en lecture, écriture et calcul. De même, les inégalités dans l’accès aux programmes d’alphabétisation sont persistantes et multidimensionnelles, en plus de la faible participation des groupes vulnérables.

    La Journée internationale de l’alphabétisation est célébrée cette année dans des circonstances de persistance des répercussions de la crise de COVID-19 et de la fermeture qui en a résulté des établissements d’enseignement, scolaires et non scolaires, qui ont mis en péril les progrès réalisés dans le domaine de l’alphabétisation au cours des dernières décennies, et ont aggravé les aspects des inégalités dans l’accès aux opportunités d’apprendre à lire et à écrire.

    Consciente que l’ignorance est plus chère que l’éducation, et du besoin urgent de construire des sociétés sans analphabétisme, l’ICESCO réitère son appel à garantir le droit à l’éducation pour tous et à éradiquer l’analphabétisme, et souligne la nécessité d’accorder davantage d’importance aux groupes marginalisés, notamment les filles et les femmes, qui sont placées au cœur des priorités de l’ICESCO, cette dernière ayant proclamé 2021 Année de la femme.

    En vue de parvenir à un réel développement dans le domaine de l’alphabétisation dans la perspective de l’apprentissage tout au long de la vie, dans un monde de plus en plus marqué par les aspects numériques, l’ICESCO appelle également à œuvrer pour révolutionner le concept de l’alphabétisation, de ses formules, programmes et méthodes, en plus de l’étendre pour inclure les compétences numériques, professionnelles et de vie, les compétences d’apprentissage continu, la créativité et la bonne citoyenneté. L’ICESCO appelle aussi à bénéficier davantage des TIC en tant qu’outil efficace majeur de l’alphabétisation et de diffusion des compétences numériques.

    En l’honneur des actions distinguées, et pour encourager les expériences réussies dans ce domaine, l’ICESCO annonce l’attribution de trois prix aux initiatives pionnières dans le domaine de l’alphabétisation des filles et des femmes, mises en œuvre par des ONG et des organisations de la société civile au profit des analphabètes, conformément aux trois langues de travail de l’Organisation (arabe, anglais et français).

    Le Directeur général de l’ICESCO reçoit l’ambassadrice du Sénégal à Rabat

    Dr Salim M. AlMalik, Directeur général de l’Organisation du Monde Islamique pour l’Éducation, les Sciences et la Culture (ICESCO), a examiné avec Mme Seynabou Dial, Ambassadrice extraordinaire et plénipotentiaire de la République du Sénégal au Royaume du Maroc, les moyens de développer les relations de coopération entre l’ICESCO et le Sénégal dans les domaines d’action de l’Organisation.

    À l’ouverture de la réunion qui a eu lieu le mardi 7 septembre 2021 au siège de l’ICESCO à Rabat, Dr AlMalik a félicité Mme Dial pour la prise de ses fonctions d’Ambassadrice du Sénégal au Maroc, et pour être la première femme à occuper ce poste, en soulignant que l’ICESCO œuvre dans le cadre de sa nouvelle vision à soutenir et renforcer les capacités des filles et des femmes, d’autant plus qu’elle continue à mettre en œuvre des programmes et des activités en la matière au cours de l’année 2021, proclamée Année de la femme et honorée par le haut patronage de Sa Majesté le Roi Mohammed VI.

    Le Directeur général de l’ICESCO a indiqué que la coopération entre l’Organisation et le Sénégal a considérablement évolué, saluant ainsi sa rencontre avec le président sénégalais Macky Sall au palais présidentiel de Dakar lors de sa visite au Sénégal en janvier 2020, au cours de laquelle il s’est entretenu au sujet de la coopération entre les deux parties avec plusieurs responsables sénégalais.

    Il a également précisé que l’ICESCO intervient, aux côtés du gouvernement sénégalais et du Secrétariat du Forum Mondial de l’Eau, dans l’organisation du 9e Forum Mondial de l’Eau qui se tiendra l’année prochaine après avoir été reporté en raison de la Covid-19, et que le Sénégal figurait parmi les pays ayant reçu le soutien de l’ICESCO pendant la pandémie, et ce, dans le cadre des programmes de l’Organisation tendant à aider les États membres à faire face à ses effets négatifs.

    Pour sa part, l’ambassadrice du Sénégal au Maroc s’est félicitée du rôle joué par l’ICESCO, en affirmant que la relation de partenariat permanent entre l’Organisation et le Sénégal continuera de prospérer dans tous les domaines de compétence de celle-ci, et que son pays souhaite vivement participer à toutes les activités de l’ICESCO.

    La réunion s’est déroulée en présence de Dr Abdelilah Benarfa, Directeur général adjoint de l’ICESCO, de Mme Ramata Almamy Mbaye, Directrice du Secteur des Sciences sociales et humaines, et de Dr Ahmed Said Bah, Conseiller du Directeur général pour les partenariats et la coopération internationale.

    L’ICESCO tient la 8e session du Programme de formation en leadership pour la paix et la sécurité

    L’Organisation du Monde Islamique pour l’Éducation, les Sciences et la Culture (ICESCO) a tenu, mardi 7 septembre 2021 par visioconférence, la 8e session du Programme de formation en leadership pour la paix et la sécurité, qui a vu la participation de responsables, formateurs, experts et d’un grand nombre de jeunes. Ce Programme est organisé par l’ICESCO en partenariat avec le Bureau de l’UNESCO pour le Maghreb, la Conférence des ministres de l’Éducation de la Francophonie (CONFEMEN) et la Conférence des ministres de la Jeunesse et des Sports de la Francophonie (CONFEJES). Il a pour objectif de former et qualifier les jeunes au leadership, vu qu’ils sont la base du changement pour la paix et l’édification des sociétés que nous voulons.

    Cette session, tenue sous le thème : « Ouvrir la boite à outils de la consolidation de la paix », a été inaugurée par l’allocution de Mme Aziza Laghzal, membre de la promotion 2021 du Programme de formation en leadership pour la paix et la sécurité, du Royaume du Maroc, dans laquelle elle s’est félicitée de sa participation audit programme qui lui a permis de connaitre les outils d’édification d’une paix durable.

    De son côté, M. Danyal Hayat, membre de la promotion 2021 du Programme LTIPS, de la République du Pakistan, s’est dit fier de participer à la première édition du Programme, en soulignant l’importance de la contribution des jeunes au façonnement d’un avenir pacifique et sécurisé.

    Par ailleurs, Mme Ramata Almamy Mbaye, Cheffe du Secteur des Sciences sociales et humaines, a salué les participants de ce Programme, qui fournit une vue d’ensemble sur les problématiques relatives à la paix et à la sécurité, et permet aux jeunes de revisiter les mécanismes traditionnels de l’édification de la paix et la sécurité.

    De même, Mme Branka Panic, fondatrice de AI for Peace, a présenté un exposé sur l’utilisation de l’intelligence artificielle dans l’édification de la paix, en indiquant que le déclin des indicateurs de paix lors des dernières années incite à trouver de nouveaux moyens pour contribuer à l’instauration de la paix, en œuvrant à connecter les experts et les décideurs.

    Dr Ndioro Ndiyae, ancienne ministre du Développement social au Sénégal, a appelé, quant à elle, à renforcer la participation des femmes au processus d’instauration de la paix et la sécurité et de les mettre au cœur de celui-ci, étant donné que les idées et propositions qu’elles fournissent contribueront à l’édification d’une paix plus durable.

    Lors de la deuxième séance, Mme Roukiatou Hampaté, représentante de la Fondation Amadou Hampaté BA, a présenté un exposé intitulé : « Revisiter les mécanismes endogènes pour la paix », dans lequel elle a présenté ces mécanismes et les moyens de les adapter à la situation actuelle et à la modernité.

    En outre, Dr Saumava Mitra, professeur à l’Université de Dublin, a fait une présentation sur le rôle et l’importance de la communication et les médias dans la réalisation de la paix. Il a aussi appelé à orienter les contenus médiatiques vers les objectifs de la paix afin d’exploiter les médias aux fins de l’édification de la paix et la sécurité.

    Dr Ahmed Said Bah, conseiller du Directeur général de l’ICESCO pour les partenariats et la coopération internationale, a présenté l’exposé « La coopération internationale comme outil pour la Paix », dans lequel il a précisé que l’échange d’expériences entre les pays constitue un mécanisme efficace permettant d’avancer de manière durable dans le processus d’édification de la paix et la sécurité.

    Dans son intervention, la représentante de la CONFEJES a souligné le rôle du sport dans l’instauration d’une paix globale et la réalisation de l’harmonie sociale.

    Par ailleurs, Mme Regine Guevara, fondatrice du Réseau des Jeunes de l’Asie pour la Paix, a mis l’accent sur l’importance d’inclure les jeunes et leur inculquer les compétences nécessaires pour édifier la paix, et leur offrir l’opportunité de façonner leur avenir.

    L’ICESCO tient la 1ère réunion consultative sur l’avenir de la FUMI

         Le siège de l’Organisation du Monde Islamique pour l’Éducation, les Science et la Culture (ICESCO) à Rabat a accueilli, le 3 septembre 2021, la première réunion consultative pour discuter de la situation de la Fédération des Universités du Monde Islamique et de ses perspectives d’avenir, afin que la Fédération puisse jouer le rôle qui lui est confié à la lumière de l’accélération des mutations que connaît le monde et du développement technologique continu.

    La réunion, à laquelle ont participé Dr Driss Ouaouicha, Ministre délégué chargé de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique au Royaume du Maroc, Dr Salim M. AlMalik, Directeur général de l’ICESCO et Secrétaire général de la FUMI, un groupe de présidents d’universités marocaines et nombre de responsables et d’experts de l’ICESCO, a connu de riches débats et d’échange d’opinions et de propositions qui offrent des solutions innovantes aux défis auxquels la FUMI est confrontée à l’heure actuelle.

    La réunion a débuté par un discours de Dr Ouaouicha, au cours duquel il a salué le rôle et les efforts de l’ICESCO au service des universités du monde islamique, soulignant la nécessité de tirer parti des expériences passées afin de planifier l’avenir de la Fédération et d’élaborer des plans stratégiques, plans d’action et mécanismes d’évaluation régulière des performances.

    Dans son discours, Dr AlMalik a souligné que cette rencontre est le début d’une série d’entretiens avec les universités membres de la Fédération, pour se découvrir leur vision quant à son avenir, expliquant que la FUMI doit être l’outil efficace pour le renforcement de la coopération entre les universités afin de se développer et d’accéder aux rangs des universités internationales, en tenant compte de la recommandation du 23ème Conseil exécutif de la Fédération, tenu à Sharjah les 2 et 3 février 2020, pour élaborer une nouvelle vision de la Fédération et ainsi développer et renouveler ses mécanismes de travail, et définir ses futurs rôles afin d’établir un nouveau départ.

    Par la suite, Dr Omar Helli, Conseiller du Directeur général de l’ICESCO aux affaires de la FUMI, a fait une présentation sur la Fédération qui comprend 351 universités appartenant à 58 pays. L’exposé a passé en revu ses principales étapes depuis sa création en 1987, ses mécanismes de travail et leur évolution récente, ainsi que la modernisation du site web de la Fédération.

    Après l’exposé, les présidents des universités participant à la réunion ont soulevé dans leurs interventions de nombreuses questions sur la Fédération, les rôles qu’elle joue et l’étendue de son succès dans la réalisation des objectifs pour lesquels elle a été créée. Ils ont fait plusieurs propositions à même de promouvoir le rôle de la FUMI et en faire une locomotive de coopération et de coordination entre les universités du monde islamique. Il s’agit notamment de Dr Awatif Hayar, présidente de l’Université Hassan II, Dr Mohamed Ghachi, Président de l’Université Mohammed V, Dr Amine Bensaid, Président de l’Université Al Akhawayn, Dr Moustapha Bousmina, Président de l’Université euro-méditerranéenne, et Dr Abdelaziz Benjouad, Vice-président de l’Université internationale de Rabat.

    Le Directeur général de l’ICESCO, son adjoint Dr Abdelilah Benarfa et de responsables de l’ICESCO ont répondu dans leurs interventions à toutes les questions lors de la réunion, et ont clarifié les contextes de la création de la FUMI, les rôles qu’elle joue et ses relations avec l’ICESCO. La réunion s’est conclue par un certain nombre de recommandations qui seront reformulées et discutées lors des prochaines réunions avec les universités membres de la Fédération.

    Examen des perspectives de coopération entre l’ICESCO et l’Ukraine

    Dr Salim M. AlMalik, Directeur général de l’Organisation du Monde Islamique pour l’Éducation, les Sciences et la Culture (ICESCO), a tenu le 2 septembre 2021 par visioconférence une séance d’entretiens avec Mme Emine Dzhaparova, Première vice-ministre des Affaires étrangères d’Ukraine, avec la participation de Mme Vasilyeva Oksana Yuryevna, Ambassadrice extraordinaire et plénipotentiaire d’Ukraine au Royaume du Maroc.

    L’entrevue a porté sur l’examen des perspectives de coopération entre les deux parties dans les domaines de l’éducation, des sciences et de la culture.

    Dr AlMalik a ouvert la séance, à laquelle ont participé nombre de responsables de l’ICESCO, en soulignant que celle-ci attache une grande importance à la promotion des valeurs de coexistence et de dialogue, et ce, par l’adoption de l’éducation pour la paix, le renforcement des capacités des femmes et des jeunes, l’assurance d’une éducation de qualité pour tous et la mise à profit des technologies modernes dans les domaines de l’éducation, de la culture et de la protection de l’environnement.

    Il a indiqué que l’ICESCO établit ses programmes et activités pour atteindre ces objectifs en partenariat avec les autorités compétentes des États membres, et qu’elle est ouverte à la coopération avec les États non membres, les organisations internationales et les donateurs, au profit des États membres et des communautés musulmanes du monde entier.

    Pour sa part, la Première vice-ministre des Affaires étrangères d’Ukraine a affirmé la volonté de son pays de construire une coopération fructueuse avec l’ICESCO, notant que pas moins de 1,5 million de musulmans vivent en Ukraine, un pays riche en sites historiques et en éléments du patrimoine immatériel.

    Elle a également salué les rôles de l’ICESCO dans la protection du patrimoine, le développement de l’éducation et le renforcement des capacités des femmes et des jeunes.

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    Assistant IA Alem