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    Le Directeur général de l’ICESCO reçoit l’ambassadeur de Tunisie à Rabat

    Dr Salim M. AlMalik, Directeur général de l’Organisation du Monde Islamique pour l’Education, les Sciences et la Culture (ICESCO), a reçu, le 25 Septembre 2020 au siège de l’Organisation à Rabat, M. Mohamed ben Ayyad, Ambassadeur de la République Tunisienne auprès du Royaume du Maroc, avec lequel il a examiné les moyens de développer la coopération entre les deux parties en matière d’éducation, de sciences et de culture.

    Au début de cette entrevue, Dr AlMalik a passé en revue les principaux développements de l’ICESCO à la lumière de sa nouvelle vision et stratégie d’action, qui adopte plus de communication avec ses Etats membres et d’ouverture avec les Etats non membres et avec les organisations et organismes internationaux et les institutions de la société civile. Cette nouvelle vision, a-t-il précisé, établit également davantage de partenariats au profit des citoyens des pays islamiques et des communautés musulmanes à travers le monde.

    Il a souligné que l’Organisation avait lancé et mis en œuvre, pendant la pandémie de COVID-19, plusieurs initiatives, programmes et activités pour contribuer à faire face à ses répercussions négatives sur l’éducation, les sciences et la culture, et ce, en fournissant des dispositifs et équipements technologiques à 25 pays afin de garantir la continuité du processus éducatif à distance. Et d’ajouter que l’ICESCO avait aussi dispensé une aide en nature et des équipements préventifs à 10 autres pays, et soutenu financièrement et techniquement la création d’unités dans certains pays pour produire des désinfectants à faible coût, de même qu’elle avait lancé l’initiative « Coalition humanitaire globale », à laquelle de nombreux pays, institutions, organismes internationaux et donateurs se sont joints en y apportant leur appui. Dr AlMalik a invité la Tunisie à rejoindre cette Coalition.

    Le Directeur général a déclaré que l’Organisation avait créé un certain nombre de centres spécialisés, dont le Centre de langue arabe pour les non arabophones et le Centre de prospective stratégique, qui prépare actuellement quatre études importantes sur l’avenir du monde islamique, l’avenir du continent africain, l’avenir de l’action culturelle et les défis de l’intelligence artificielle dans les pays du monde islamique ; lesquelles études, a-t-il ajouté, s’effectuent respectivement avec la participation d’experts internationaux parmi les plus éminents. Il s’agit également du Centre du patrimoine qui a jusqu’à présent inscrit 200 sites historiques des Etats membres sur la Liste du patrimoine dans le monde islamique, dont 17 sites tunisiens et en tête desquels figurent la Médina de Tunis, l’île de Djerba, la Synagogue de Sousse et la Médina de Sfax.

    Il a en outre salué la coopération constructive entre l’ICESCO et la Tunisie, le grand succès de la célébration de Tunis capitale de la culture dans le monde islamique au titre de 2019 pour la région arabe, ainsi que sa merveilleuse cérémonie de clôture à laquelle avaient participé les ministres de la Culture du monde islamique et l’avaient largement saluée lors de la 11ème Conférence islamique des ministres de la Culture (décembre 2019, Tunis). Dr AlMalik s’est aussi félicité de la coopération entre les deux parties pour la restauration de la maison de l’érudit Abd al-Rahman Ibn Khaldoun, dans le centre de Tunis.

    De son côté, l’Ambassadeur tunisien a apprécié le travail exceptionnel de l’ICESCO, les initiatives pratiques qu’elle avait lancées pendant la pandémie de COVID-19 et son appui à ses Etats membres face aux répercussions négatives de cette pandémie. Il a aussi souligné la volonté de la Tunisie de poursuivre la coopération constructive avec l’ICESCO dans ses domaines de compétence.

    Le Directeur général de l’ICESCO : les transformations du monde nécessitent l’élaboration de nouveaux mécanismes de réflexion et de communication

    Le renouvellement dans la religion consiste à déterminer la marge du constant et du variable dans le texte religieux et à l’appliquer dans la réalité

    Dr Salim M. AlMalik, Directeur général de l’Organisation du Monde Islamique pour l’Education, les Sciences et la Culture (ICESCO) a souligné que les transformations que connait le monde aujourd’hui à l’issue de la propagation du nouveau coronavirus ont montré le besoin urgent à la religion, et que la définition du rôle de la religion dans ce monde en mutation nécessite de concevoir de nouveaux mécanismes de réflexion et de communication, de tracer les objectifs avec précision et de déterminer la marge du constant et du variable dans le texte religieux et de l’appliquer dans la réalité qui change constamment. Et d’ajouter qu’il s’agit en fait du sens du renouvellement dans la religion prôné par la Charia.

    Ces propos relèvent de son allocution prononcée lors de la Conférence académique internationale virtuelle « La religion dans un monde en mutation : le rôle de l’enseignement dans l’éducation des jeunes », tenue le 24 Septembre 2020 en par l’Assemblée spirituelle des Musulmans de Russie, avec la participation de chefs religieux et intellectuels de 20 pays.

    Le Directeur général de l’ICESCO a appelé la Russie à être un acteur actif du monde islamique, à défendre les intérêts de ses Etats et de ses peuples, à coopérer avec eux pour réaliser le progrès et la prospérité, étant donné que l’Islam est la deuxième religion en Russie, puisque 20 à 25 millions sur 140 millions de la population russe est musulmane.

    Il a expliqué que l’ICESCO s’est lancée dans la mise en œuvre d’activités qui mettent en évidence sa nouvelle vision et ses nouvelles orientations, dont notamment la tenue du webinaire international sous le thème : « Rôle des chefs religieux dans la lutte contre les crises : Vers une solidarité éthique mondiale des chefs religieux ». Cet événement, auquel avaient pris part des chefs religieux et institutions de diverses religions représentant la grande majorité de la population mondiale, a accueilli S.E. M. Idriss Déby Itno, Président de la République du Tchad, de même qu’il a publié un document historique intitulé : « Déclaration de l’ICESCO pour la solidarité éthique ».

    Dr AlMalik a souligné que cette Déclaration avait été approuvée à l’unanimité par un grand nombre de dirigeants et d’institutions religieux de renommée mondiale, de même qu’elle avait été largement diffusée dans les trois langues de travail de l’Organisation (arabe, anglais et français). Et de préciser que l’ICESCO avait également soumis ce document aux décideurs mondiaux du G20 et aux Nations Unies.

    Il a appelé les participants à la Conférence de l’Assemblée spirituelle des Musulmans de Russie à inclure cette Déclaration dans les résultats et recommandations de leur Conférence, appelant à s’inspirer de ses orientations générales et principes établis, et à ce qu’elle soit traduite en russe et dans les langues des peuples musulmans de cette région, afin d’en assurer la plus large mise à profit.

    Lola da Silva au webinaire de l’ICESCO : L’éducation est la base de la construction des nations, et les pauvres font partie de la résolution des problèmes de l’Etat

    AlMalik : La pandémie de COVID-19 nécessite la révision des systèmes éducatifs et l’adoption de nouvelles méthodes créatives .

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    S.E. M. Luiz Inácio Lola da Silva, ancien Président brésilien, a souligné la nécessité de faire de l’éducation une priorité des sociétés pour assurer un avenir prospère et une vie décente, et précisé que le changement du monde pour le mieux est l’affaire de toutes les classes sociales et non seulement la responsabilité des politiciens. Il a ajouté que l’éducation est une condition préalable à la construction des nations et à la réalisation de ce changement. « Nous devons garantir la scolarisation des enfants des catégories pauvres ; les pauvres ne sont pas un problème, mais font plutôt partie de la résolution des problèmes auxquels les pays sont confrontés, s’ils reçoivent une bonne orientation. », a-t-il précisé.

    M. da Silva a prononcé son allocution lors de la séance d’ouverture du webinaire international tenu aujourd’hui par l’Organisation du Monde Islamique pour l’Education, les Sciences et la Culture (ICESCO), sous le thème : « L’éducation et l’initiative des Sociétés que nous voulons », avec la participation de plusieurs ministres de l’Education et de l’Enseignement des Etats membres de l’Organisation et de personnalités internationales de haut niveau, parmi les spécialistes et les personnes intéressées par ce domaine.

    Dr Salim M. AlMalik, Directeur général de l’ICESCO, a assuré la modération de cette séance d’ouverture, au cours de laquelle il a expliqué que l’Organisation avait lancé l’initiative « Les sociétés que nous voulons » pendant la pandémie de COVID-19 pour contribuer à la construction de sociétés saines, pacifiques, prospères, inclusives, résilientes et durables. Il a aussi souligné que l’éducation est la solution clé à même d’éliminer la discrimination fondée sur le sexe, contrecarrer la pauvreté, réduire la mortalité et la maladie et promouvoir la paix.

    Il a ajouté que cette pandémie avait causé la plus grande perturbation des systèmes éducatifs de l’histoire et la fermeture d’établissements d’enseignement, affectant ainsi près de 1,6 milliards d’apprenants dans plus de 190 pays à travers le monde, et jusqu’à 99% dans les pays à revenu faible et moyen. Et d’appeler à concerter les efforts afin de surmonter les répercussions de cette pandémie, à revoir les systèmes éducatifs et à adopter de nouvelles méthodes créatives en matière d’éducation, en vue d’obtenir l’éducation du futur que nous voulons et dont les schémas vont changer à l’avenir. Il a aussi noté que l’ICESCO adopte ce dossier en tant qu’organisation prospectant l’avenir et contribuant à aider les Etats membres à construire leurs systèmes éducatifs.

    Le Directeur général a averti qu’en dépit des efforts consentis par les pays afin de dispenser l’éducation et de réduire les taux d’abandon, des études ont montré que l’indicateur de « pauvreté en matière d’apprentissage » dans les pays à revenu faible et moyen indique que 53% des enfants ne savent ni lire ni comprendre à l’âge de 10 ans, que les filles et les femmes sont encore sous-représentées dans les domaines des sciences, de la technologie, de l’ingénierie et des mathématiques et que l’accès et la disponibilité de l’Internet sont encore un problème difficile pour certains pays, en particulier sur le continent africain. Par conséquent, a-t-il ajouté, les pays pauvres et les communautés fragiles doivent être aidés grâce à un système d’enseignement technique qui puisse suivre le rythme des changements.

    Dans son allocution, M. Kailash Satyarthi, lauréat du Prix Nobel de la paix en 2014, a affirmé que l’éducation est un droit pour tous et dont aucun enfant ne doit être privé, et que nous devons tous œuvrer en concert pour développer un véritable programme d’action en vue de garantir le droit de chacun à l’éducation, et établir des partenariats pour la protection sociale dans le monde. Il a précisé que les catégories marginalisées doivent bénéficier des budgets alloués par les pays face à la pandémie de COVID-19, en appuyant sur la nécessité de solliciter la communauté internationale à augmenter le budget mondial alloué mondialement à la lutte contre les répercussions de la pandémie et estimé à 8 Billon de dollars, de relever le pourcentage de ce budget alloué aux pays pauvres de 0.3% à 20%, et que le vaccin préventif contre le nouveau coronavirus soit gratuitement accessible à tous après sa découverte.

    Mme Alice Albright, Directrice générale du Partenariat mondial pour l’éducation (PME), a déclaré dans son allocution à cette séance d’ouverture, qu’il est impossible de construire les sociétés que nous voulons sans assurer la qualité de l’éducation pour chaque enfant. Elle a ajouté que l’éducation n’est pas seulement la base de l’avenir de l’enfant, mais une question vitale pour assurer la prospérité des nations et garantir un monde pacifique. Et de réaffirmer que les filles instruites sont les plus capables de sortir leurs familles de la pauvreté, d’immuniser leurs enfants et de les envoyer à l’école.

    A l’occasion de la Journée du patrimoine dans le monde islamique : L’ICESCO appelle à prendre les précauions nécessaires pour la réouverture des musées et sites patrimoniaux

    L’Organisation du Monde Islamique pour l’Education, les Sciences et la Culture (ICESCO) a l’immense plaisir de célébrer la Journée du patrimoine dans le monde islamique, et espère que cette journée demeurera, dans la mémoire des peuples, une source d’intérêt pour le patrimoine humain en général.
    L’Organisation rappelle également sa proposition concernant la célébration de la Journée du patrimoine dans le monde islamique, qui a été approuvée par la 11ème Conférence des Ministres de la Culture dans le Monde islamique (17 décembre 2019 – Tunis). Ainsi, le 25 septembre de chaque année est désormais une occasion pour présenter aux peuples du monde entier la richesse et la diversité du patrimoine culturel des pays islamiques, et mettre en avant les efforts inlassables pour la sauvegarde, la protection et la valorisation de ce patrimoine.
    A la lumière des circonstances résultant de la pandémie de Corona, qui ont obligé plus que la moitié de la population mondiale à rester chez elle et perpétré la fermeture, pendant plus de six mois, de la plupart des sites archéologiques, monument historiques et musées ;
    L’ICESCO réitère son grand intérêt à préserver le patrimoine culturel humain, à sensibiliser à son importance et son rôle et à alerter au danger du vandalisme de ce patrimoine en temps de crises. De même, elle se félicite du soutien qu’elle a apporté aux Etats membres en vue les sensibiliser à la valeur de leur patrimoine et à la manière de le restaurer et le réhabiliter. L’ICESCO rappelle également les différentes initiatives et publications qu’elle avait lancées en matière de protection du patrimoine dans le monde islamique, notamment l’initiative de la proclamation de l’année 2019 Année du patrimoine dans le monde islamique, et la « Déclaration islamique pour la protection du patrimoine culturel dans le monde islamique ». Toutes ces initiatives reconnaissent la nécessité d’impliquer les secteurs gouvernementaux et les organisations internationales et régionales, et les instances de la société civile dans une action commune en vue de fédérer les efforts de protection du patrimoine culturel dans le monde islamique.
    Conformément à la nouvelle stratégie de l’ICESCO, lancée fin 2019 et qui comprend une vision plus globale et réaliste sur la préservation du patrimoine culturel dans le monde islamique, l’Organisation met l’accent sur les différents programmes et activités virtuels relevant de la préservation du patrimoine, qu’elle avait lancés à travers le Centre du patrimoine dans le monde islamique, à savoir les sessions de formation à distance au profit des spécialistes des différents domaines du patrimoine dans le monde islamique, le patrimoine subaquatique, le patrimoine immatériel et les musées. Il s’agissait également de la tenue de webinaires, en présence d’experts et de directeurs du patrimoine issus des Etats membres et d’autres pays du monde, ainsi que d’organisations internationales œuvrant dans ce domaine. Le but était d’examiner la situation patrimoniale et les pertes que ce secteur subit à cause des circonstances d’urgence sans précédent. Ces activités ont été couronnées par la tenue de la Conférence internationale virtuelle de lutte contre le trafic illicite des biens culturels.
    Vu les circonstances dangereuses et urgentes, l’ICESCO appelle tous les pays, les organisations internationales et régionales, les institutions gouvernementales et les parties compétentes en matière de patrimoine à porter davantage d’intérêt au patrimoine culturel matériel et immatériel, et à poursuivre leur rôle, pendant et après la crise, pour faire connaitre ce patrimoine et le restaurer. Elle les a également invités à recourir aux mécanismes d’exposition virtuelle, en utilisant les techniques et applications de l’intelligence artificielle pour protéger ce type de patrimoine et mettre en valeur sa richesse et sa diversité, tout en prenant les précautions nécessaires pour rouvrir ces sites et sensibiliser les gens à l’importance de la préservation du patrimoine.
    Notre héritage est notre identité, unissons-nous pour le préserver.

    #OurHeritageOurFuture

    Le Directeur général s’entretient avec le Chargé d’affaires irakien à Rabat

    Dr Salim M. AlMalik, Directeur général de l’Organisation du Monde Islamique pour l’Education, les Sciences et la Culture (ICESCO), s’est entretenu hier au siège de l’Organisation à Rabat, avec Dr Botan Dizayee, Chargé d’affaires à l’ambassade de la République d’Irak auprès du Royaume du Maroc, et a examiné avec lui les moyens de développer la coopération entre l’ICESCO et l’Irak dans les domaines de l’éducation, des sciences et de la culture.

    Lors de cet entretien, Dr AlMalik a indiqué que l’Organisation, dans sa nouvelle vision et stratégie d’action, adopte davantage de communication avec ses Etats membres en vue d’identifier leurs besoins et priorités par rapport à ses domaines d’action, élaborer des plans et programmes qui répondent à ces besoins et les mettre en œuvre en coopération avec les parties compétentes de chaque Etat. Et d’ajouter que l’ICESCO s’ouvre sur les Etats non membres en vue de tirer profit de leur expertise en matière d’éducation, d’enseignement, de sciences, d’innovation et de culture, de même qu’elle a permis à ces Etats d’adhérer à l’Organisation en tant qu’observateur.

    En outre, Dr AlMalik a passé en revue les principaux initiatives, programmes et activités lancés et mis en œuvre par l’ICESCO pendant la pandémie de COVID-19 pour aider les pays à contrer les répercussions négatives de la pandémie et soutenir de nombreux Etats membres, en coopération avec certaines parties donatrices, afin d’assurer la continuité du processus éducatif à distance, de fournir le matériel et les moyens de prévention, d’établir des unités de production d’antiseptiques à faible coût et de former les membres des communautés locales à leur production.

    De même, le Directeur général a souligné que l’Organisation avait tenu plusieurs conférences ministérielles et webinaires internationaux, qui ont vu une participation de haut niveau de chefs d’Etats, ministres et personnalités de renommée, et qui ont été favorablement accueillis. A cet égard, il a salué la participation des responsables irakiens à ces événements, notamment la Conférence internationale virtuelle sur la lutte contre le trafic illicite des biens culturels et leur restitution, tenue en juillet 2020 par l’ICESCO, et à laquelle avait pris part Dr Hassan Nazim, ministre irakien de la Culture, du Tourisme et des Antiquités.

    Dr AlMalik a également mis l’accent sur les efforts de l’Organisation en matière de protection et de sauvegarde du patrimoine, à savoir la création du Comité du patrimoine dans le monde islamique, l’inscription des sites historiques et des éléments du patrimoine immatériel sur la Liste du patrimoine dans le monde islamique et la création du Centre du patrimoine. Il a également indiqué que l’Irak compte parmi les pays les plus touchés par le pillage et la destruction des antiquités, en proposant de coopérer pour inscrire le plus grand nombre de sites archéologiques irakiens sur ladite Liste.

    De son côté, le Chargé d’affaires irakien s’est félicité des efforts remarquables de l’ICESCO dans ses domaines d’action et de son soutien à ses Etats membres. Il a aussi souligné la volonté de son pays de coopérer avec l’Organisation, notamment en matière de patrimoine.

    Le Président de la Chambre des Représentants salue les initiatives de l’ICESCO en matière de soutien au développement culturel

    El Malki : L’ICESCO est une force douce qui partage nos valeurs et orientations

    M. Habib El Malki, Président de la Chambre des Représentants au Royaume du Maroc, a salué les initiatives lancées par l’Organisation du Monde Islamique pour l’Education, les Sciences et la Culture (ICESCO) en matière de soutien au développement durable, d’ouverture sur les Etats et les organisations, de promotion du dialogue intercivilisationnel et de la société du savoir, ainsi que d’autres projets. Il a également déclaré : « L’ICESCO est une force douce qui partage nos valeurs et orientations », en se félicitant de l’action de l’Organisation.

    Les propos de M. El Malki relèvent de sa rencontre avec Dr Salim M. AlMalik, Directeur général de l’ICESCO, lors de sa visite au siège de la Chambre des Représentants à Rabat. Au cours de cette entrevue, le Président de cette dernière a salué le travail de l’Organisation, de même qu’il a précisé que Feu Sa Majesté le Roi Hassan II avait joué un rôle fondamental dans la création de l’ICESCO en 1982. Il a également indiqué que celle-ci occupe une place importante sur la scène internationale, en comptant 54 Etats membres de différentes régions, et a appelé à focaliser les efforts de l’Organisation sur le soutien aux pays africains.

    De son côté, Dr AlMalik a souligné que le Maroc est parmi les pays fondateurs de l’ICESCO et lui apporte constamment son soutien. Il a également présenté les orientations stratégiques de l’action de l’Organisation durant les prochaines années, ainsi que les principaux projets à mettre en œuvre, en mettant l’accent sur la nouvelle vision de l’ICESCO basée sur les principes de transparence et de bonne gouvernance.

    De même, Dr AlMalik a indiqué que le Maroc est un partenaire essentiel de l’Organisation et s’est félicité des projets mis en œuvre par celle-ci dans ce pays dans les domaines de l’éducation, l’enseignement, la culture et la préservation du patrimoine.

    Examen de la coopération entre l’ICESCO et la Côte d’Ivoire

    Dr Salim M. AlMalik, Directeur général de l’Organisation du Monde Islamique pour l’Education, les Sciences et la Culture (ICESCO), a examiné avec M. Traoré Idrissa, ambassadeur de la République de Côte d’Ivoire auprès du Royaume du Maroc, les moyens de développer la coopération et le partenariat entre les deux parties dans les domaines de l’éducation, des sciences et de la culture.

    Au cours de la réunion, qui a eu lieu hier au siège de l’Organisation à Rabat, Dr AlMalik a souligné que la vision et la nouvelle stratégie d’action de l’ICESCO accordent une priorité particulière aux Etats membres africains, et s’emploie à élargir la coopération avec eux, à travers davantage de communication pour identifier leurs besoins et priorités, de même qu’elle tâche de concevoir des programmes et activités à mettre en œuvre en coopération avec les autorités compétentes de chaque pays, en fonction de ces besoins.

    Il a expliqué que l’ICESCO, à travers ses initiatives, programmes et activités qu’elle avait lancés et mis en œuvre depuis le début de la pandémie de COVID-19, a fourni des dispositifs et équipements technologiques à 25 pays pour soutenir la production de contenus éducatifs numériques afin de maintenir la continuité du processus éducatif à distance, et qu’elle a également fourni une assistance en nature, du matériel préventif, des outils et du matériel d’hygiène à 10 autres pays. L’ICESCO a aussi soutenu financièrement et techniquement la création dans un certain nombre de pays d’unités pour produire des désinfectants à bas prix et former des membres des communautés locales à leur fabrication.

    Le Directeur général a évoqué le développement et la modernisation de l’ICESCO à la lumière de sa nouvelle vision, de même que les centres spécialisés qu’elle a créés, notamment dans la prospective stratégique, l’intelligence artificielle, la langue arabe pour les non arabophones, le patrimoine, le dialogue et la diversité culturelle, afin que l’ICESCO devienne un phare du rayonnement civilisationnel et contribue à la réalisation d’un ensemble de nobles objectifs. Il s’agit notamment de garantir le droit à une éducation inclusive et équitable pour tous, de soutenir la recherche scientifique et l’innovation au profit de l’humanité, de préserver le patrimoine culturel et civilisationnel comme l’un des facteurs garants de l’identité, et de soutenir le dialogue culturel pour parvenir à la paix et à la coexistence entre tous et appuyer les Etats membres dans la réalisation du développement durable grâce au renforcement des capacités des femmes et des jeunes.

    Dr AlMalik a apprécié la volonté des responsables de la République de Côte d’Ivoire de participer aux conférences et forums internationaux organisés par l’ICESCO, qui connaissent une participation de haut niveau de chefs d’Etat et de personnalités internationales de premier plan.

    Pour sa part, l’ambassadeur de Côte d’Ivoire a salué les initiatives et programmes pratiques lancés par l’ICESCO pendant la pandémie de COVID-19, ainsi que l’assistance qu’elle a fournie à ses Etats membres, en particulier sur le continent africain, soulignant la volonté de son pays de poursuivre la coopération, d’élargir le partenariat avec l’Organisation et de bénéficier des programmes distingués qu’elle propose.

    Le jury du Prix ICESCO des courts métrages tient sa première réunion

    En vue d’annoncer les lauréats du Prix ICESCO du court métrage, le jury du Prix a tenu sa 1ère réunion au siège de l’Organisation à Rabat, dans laquelle il a réaffirmé les critères de sélection adoptés, assigné les tâches à ses membres et adopté le programme afin de mener à bien les procédures et annoncer les noms des lauréats.

    Le Jury est composé de M. Najib Rhiati, Directeur du Secteur de la Culture et de la Communication à l’ICESCO, Dr Abdelilah Benarafa, conseiller culturel du Directeur général, M. Khalid Ibrahimi, réalisateur, M. Mohammed Chouika, critique de cinéma et écrivain, et M. Abdelilah Hamdouchi, romancier et scénariste. Le jury est assisté d’une équipe d’experts et techniciens de l’ICESCO.

    A noter que l’ICESCO avait annoncé ce Prix à la mi-avril 2020 dans le cadre de son initiative « La Culture à distance », lancée pendant la période de confinement en raison de la pandémie de COVID-19. Ce Prix vise à encourager les jeunes à la créativité artistique, à découvrir leurs talents dans la production de courts métrages de fiction et documentaires, à diffuser la culture de paix et à encourager la production cinématographique. Il s’agit également de créer la bibliothèque de l’ICESCO pour les courts métrages et d’anticiper ce que l’on peut appeler « l’économie de la vie », ainsi que les futurs modes de travail, de créativité, de production et les emplois à venir.

    Le Prix sera décerné aux trois meilleurs courts métrages, respectivement comme suit : 8.000 $US, 6.000 $US et 4.000 $US. Pour se qualifier pour le Prix, le court métrage :

    1. Ne doit pas dépasser 4 minutes ;

    2. Ne doit pas avoir été soumis à un concours antérieur ;

    3. Ne doit pas porter atteinte aux valeurs humaines, religieuses ou nationales ;

    4. Être sous-titré dans l’une des trois langues officielles de l’ICESCO (arabe, anglais ou français).

    Il convient de mentionner que l’ICESCO a lancé une série de concours pendant cette période de confinement dans divers domaines créatifs, tels que la nouvelle, le dessin et les courts métrages, qui ont connu une large participation à travers le monde, et que les noms des lauréats sont annoncés respectivement.

    Le Directeur général de l’ICESCO s’entretient avec l’Ambassadeur du Danemark

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    Dr Salim M. AlMalik, Directeur général de l’Organisation du Monde Islamique pour l’Education, les Sciences et la Culture (ICESCO), s’est entretenu avec M. Nikolaj Harris, Ambassadeur du Royaume du Danemark auprès du Royaume du Maroc, avec lequel il a examiné les perspectives de coopération entre les deux parties en matière d’éducation, de sciences et de culture.

    Au début de cette entrevue, tenue hier au siège de l’Organisation, Dr AlMalik, a abordé les principaux aspects de modernisation et de développement de l’ICESCO à la lumière de sa nouvelle vision et stratégie de travail, qui adopte plus de communication et d’ouverture, non seulement avec ses Etats membres, mais aussi avec les Etats non membres et avec les organisations et organismes internationaux et les institutions de la société civile concernés par ses domaines de travail. Cette nouvelle vision adopte aussi l’établissement des partenariats et de la coopération au profit des Etats membres et des communautés musulmanes à travers le monde.

    Le Directeur général a indiqué que l’ICESCO a élaboré une nouvelle charte pour les Etats observateurs, permettant à tous les pays non membres d’adhérer à l’ICESCO en tant qu’observateurs, adhésion qui leur donne le droit de participer à toutes les activités et programmes de l’Organisation, de conclure des accords et des partenariats et d’échanger les expériences avec les pays du monde islamique. Il a, dans ce cadre, appelé le Danemark à se joindre à l’ICESCO en tant qu’observateur.

    Et de passer en revue les initiatives, programmes et activités les plus importants lancés et mis en œuvre par l’Organisation pendant la pandémie de COVID-19, afin d’aider les pays à faire face aux répercussions négatives de la pandémie, ainsi que le soutien apporté à un certain nombre de ses Etats membres en coopération avec certains donateurs, pour assurer la continuité du processus éducatif à distance et fournir matériel et outils de prévention. Il s’agissait également d’unités de production de désinfectants à faible coût et de la formation des membres des communautés locales à leur fabrication. Dr AlMalik a ajouté que l’ICESCO avait également tenu de nombreuses conférences ministérielles et forums internationaux pendant la période pandémique, qui se sont distingués par la présence de haut niveau de chefs d’Etat et de dignitaires internationaux et ont été favorablement accueillis.

    Il a déclaré que l’ICESCO avait créé un certain nombre de centres spécialisés dans la prospective stratégique, l’intelligence artificielle, la langue arabe pour les non arabophones, le patrimoine, le dialogue et la diversité culturelle, ce qui en fait un phare de rayonnement civilisationnel et lui permet de contribue à la réalisation d’un certain nombre d’objectifs nobles. Il s’agit notamment de garantir le droit à une éducation inclusive et équitable pour tous, de soutenir la recherche scientifique et l’innovation au profit de l’humanité, de préserver le patrimoine culturel et civilisationnel en tant que composante de l’identité, ainsi que du soutien au dialogue culturel pour parvenir à la paix et à la coexistence entre tous.

    Et d’ajouter que le Danemark est l’un des pays développés en matière d’éducation et de formation professionnelle, notant que la coopération entre les deux parties dans ce domaine pourrait contribuer au développement des systèmes éducatifs dans les Etats membres de l’ICESCO.

    Pour sa part, l’Ambassadeur du Danemark à Rabat a affirmé la volonté de son pays de coopérer avec l’ICESCO dans ses domaines d’action, à la lumière de sa vision et de sa nouvelle stratégie d’action. Il a apprécié le travail distingué de l’Organisation pendant cette pandémie, ainsi que son intérêt particulier pour le dossier du dialogue interculturel afin de réaliser la coexistence dont le monde a désespérément besoin maintenant.

    Examen du développement des mécanismes du Prix du Royaume d’Arabie Saoudite pour la gestion environnementale dans le monde islamique

    Dr Salim M. AlMalik, Directeur général de l’Organisation du Monde Islamique pour l’Education, les Sciences et la Culture (ICESCO), s’est entretenu aujourd’hui, par visioconférence, avec l’Ingénieur Ali ibn Said al Ghamdi, Président général de l’Instance générale de météorologie et de protection de l’environnement au Royaume d’Arabie Saoudite, et a examiné avec lui le développement des mécanismes du Prix du Royaume d’Arabie saoudite pour la gestion environnementale dans le monde islamique, dont le Secrétariat général est assuré par l’ICESCO. Le but est de lancer prochainement les candidatures à la nouvelle édition du Prix (2020-2021). Les deux responsables ont également discuté du lancement des préparatifs pour la 9ème Conférence des ministres de l’Environnement dans le monde islamique, qui se tiendra l’année prochaine à Jeddah.

    Lors de cette entrevue, il a été procédé à la présentation des préparatifs en cours pour le lancement de la 3ème édition dudit Prix, de la feuille de route pour la réception des candidatures via la plateforme électronique et du lancement du nouveau site web du Prix. Il s’agissait également d’examiner les étapes procédurales et organisationnelles pour la mise en œuvre du Plan médiatique du Prix ainsi que les aspects relatifs à la supervision académique, technique, administrative, financière et logistique.

    Les discussions ont également porté sur un certain nombre de propositions pratiques pour développer et enrichir le Prix, afin de le promouvoir et étendre son rayonnement aux niveaux régional et international. Ces propositions seront examinées par les autorités concernées, en vue de contribuer au renforcement des efforts des Etats membres dans le domaine de la protection de l’environnement et la promotion des questions de développement durable. Parmi ces questions figurent la nomination de personnalités internationales pour la composition du Comité supérieur du Prix, ainsi que l’invitation de certaines institutions et entreprises intéressées par les questions environnementales à participer au Prix. A noter que les prix seront remis aux gagnants lors de la 9ème Conférence des ministres de l’Environnement du monde islamique.

    La réunion a également abordé les préparatifs pour la tenue de ladite Conférence, de même de la prochaine réunion du Bureau exécutif islamique pour l’environnement, qui se tiendra en 2021 à Rabat.

    Il est à noter que le Prix du Royaume d’Arabie Saoudite pour la gestion environnementale dans le monde islamique est supervisé par le ministère saoudien de l’Environnement, de l’Eau et de l’Agriculture, et vise à consolider le large concept de la gestion environnementale, à sensibiliser à l’environnement et à motiver les organisations civiles et les individus afin de garantir l’avenir du monde concernant cette question. Peuvent se porter candidats à ce Prix, à travers une auto-nomination ou par d’autres organismes (individus ou institutions), les spécialistes en gestion environnementale et en développement durable (individus, groupes, institutions, organisations, entreprises, organismes, associations ou autres), qu’ils soient gouvernementaux ou privés représentant les pays du monde islamique.