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    L’ICESCO et l’Université d’État de Bakou organisent une conférence internationale sur les défis de la chimie théorique et expérimentale

    La Conférence scientifique internationale sur les défis modernes de la chimie théorique et expérimentale, organisée par l’Organisation du Monde Islamique pour l’Éducation, les Sciences et la Culture (ICESCO), en partenariat avec l’Université d’État de Bakou en République d’Azerbaïdjan, a clôturé ses travaux le vendredi 30 septembre 2022. L’événement visait à promouvoir la recherche scientifique en chimie théorique et expérimentale, à encourager les jeunes chercheurs à faire carrière dans ce domaine et à célébrer les contributions de la scientifique azerbaïdjanaise Rafiga Aliyeva aux domaines de la chimie et de l’environnement.

    La conférence de deux jours a vu la participation de personnalités de haut niveau, notamment des ministres, des responsables, des scientifiques et des spécialistes des sciences et des technologies. Au cours des séances, les participants ont discuté des contributions de la scientifique Rafiga Aliyeva à la chimie, et ont échangé des idées sur certaines recherches appliquées modernes dans les domaines de la chimie analytique et environnementale, de la protection de l’environnement et de la méthodologie de l’enseignement de la chimie.

    Dans son allocution, Dr Muhammad Sharif, conseiller au Secteur des Sciences et de la Technologie de l’ICESCO, a passé en revue les efforts de l’Organisation pour promouvoir la recherche scientifique, la technologie moderne et l’intelligence artificielle, et développer l’esprit d’entreprise dans ses États membres par le biais de diverses initiatives, programmes et activités, notamment le programme de l’ICESCO pour la formation des jeunes à la création et au développement de petits projets dans les domaines de la technologie et de l’innovation.

    Examen des perspectives de coopération entre l’ICESCO et la fondation américaine Embrace Relief

    Le Secteur des Partenariats et de la Coopération internationale de l’Organisation du Monde Islamique pour l’Éducation, les Sciences et la Culture (ICESCO) et la fondation américaine « Embrace Relief », ont tenu une réunion pour examiner les perspectives de coopération dans les domaines du développement durable, de la résolution des défis sociaux et de santé, du développement de l’éducation et du renforcement des capacités des femmes et des enfants.

    Le Secteur des Partenariats et de la Coopération internationale était représenté à la réunion, qui s’est tenue jeudi 29 septembre 2022 à distance, par Mme Amira ElFadil, Cheffe du secteur, et l’équipe de travail du même secteur, tandis que la fondation « Embrace Relief » était représentée par M. Savas Metin, Chef de projets à l’organisation, et d’un certain nombre de membres de l’équipe du travail.

    Au cours de la réunion, Mme Amira ElFadil a passé en revue la nouvelle vision et les orientations stratégiques de l’ICESCO, en mettant l’accent sur les principaux programmes et projets mis en œuvre par l’Organisation dans ses États membres. Elle a aussi souligné la volonté de l’ICESCO de coopérer avec l’organisation afin de soutenir ses États membres pour atteindre les Objectifs de Développement durable, relever les défis sociaux et sanitaires, développer l’éducation, renforcer les capacités des femmes et des enfants et assurer l’approvisionnement en eau et l’assainissement.

    Pour sa part, M. Metin a fait une présentation sur les domaines de travail de la fondation et ses programmes portant sur l’éducation, les soins de santé, l’eau et l’assainissement, la réhabilitation des femmes, l’agriculture, les réfugiés et les personnes déplacées. Il a également indiqué que la fondation Embrace Relief travaille dans 40 pays autour du monde, et a des partenariats avec les organes des Nations Unies et de l’Union Africaine.

    À l’issue de la réunion, les deux parties ont identifié un certain nombre de domaines d’intérêt commun et ont convenu de poursuivre les discussions et la coordination afin d’établir un partenariat fructueux entre l’Organisation et la fondation.

    L’ICESCO participe à la Rencontre internationale Dar Dmana du Dhikr et Samaâ d’Ouazzane

    Dans le cadre de la célébration de Rabat capitale de la culture dans le monde islamique au titre de 2022, l’Organisation du Monde Islamique pour l’Éducation, les Sciences et la Culture (ICESCO) a pris part à la 2ème édition de la Rencontre internationale Dar Dmana du Dhikr et Samaâ, tenue par l’Association Assafa Limadh Almustapha d’Ouazzane sous le slogan : « La dimension esthétique spirituelle et son rôle au service de l’unité de la patrie et de la nation », en partenariat avec le Ministère de la Jeunesse, de la Culture et de la Communication, la Province d’Ouazzane et l’Agence marocaine pour la Promotion et le Développement du Nord .

    A représenté l’ICESCO lors de cette Rencontre de trois jours, dont les travaux ont été lancés jeudi 29 septembre 2022, M. Najib Rhiati, conseiller culturel du Directeur général, qui a souligné dans son allocution prononcée à la séance d’ouverture tenue à Place de l’Indépendance, l’importance de l’organisation de cet événement culturel spirituel et artistique, ainsi que son rôle dans le renouvellement du rayonnement civilisationnel et culturel de la ville de la Zaouïa Ouazzania d’une part, et dans l’enrichissement de la diversité culturelle, qui constitue l’un des objectifs stratégiques de la célébration des capitales de la culture dans le monde islamique, d’autre part.

    Il a ajouté que l’ICESCO, soucieuse de documenter le patrimoine culturel, a procédé à l’inscription de la technique et du savoir-faire de la Djellaba Ouazzania sur la Liste du patrimoine dans le monde islamique.

    En conclusion, M. Rhiati a récité le poème intitulé « Couronne des louanges » écrit par Dr Salim M. AlMalik, Directeur général de l’ICESCO, en hommage à la ville d’Ouazzane et à son histoire séculaire culturelle et civilisationnelle.

    L’ICESCO préside la séance ministérielle de clôture de la Conférence de l’UNESCO sur les politiques culturelles au Mexique

    Dr Mohamed Zinelabidine, chef du Secteur de la Culture et de la Communication relevant de l’Organisation du Monde Islamique pour l’Éducation, les Sciences et la Culture (ICESCO), a animé la séance ministérielle de clôture des activités de la Conférence mondiale sur les politiques culturelles et le développement durable (MONDIACULT 2022) , organisée par l’UNESCO avec la participation de 115 ministres de la culture et de 70 organisations et institutions internationales représentant les États membres. Ont pris part à cette séance tenue sous le thème « La culture pour le développement durable », les ministres de la culture de l’Égypte, de la République tchèque, de Chypre, du Luxembourg, d’Indonésie, de la Sierra Leone et de la Namibie, ainsi que sept organisations internationales.

    Les interventions des ministres ont porté sur les moyens de développer les politiques culturelles dans les États membres, en particulier celles liées aux indicateurs des industries culturelles et créatives dont les revenus annuels dépassent 2,250 milliards de dollars, représentant ainsi 13% des taux d’emploi urbains, en soulignant que la culture constitue aujourd’hui un moteur économique majeur pour un tourisme durable, soutenu par 90% de la population des pays du monde, du fait des revenus qu’elle génère grâce aux manifestations artistiques, aux industries du patrimoine et aux savoir-faire traditionnels.

    Au cours de son animation de la séance, Dr Zinelabidine a salué le partenariat existant entre l’UNESCO et l’ICESCO, en précisant que les deux organisations œuvrent à l’amélioration des indicateurs de l’économie culturelle et créative pour un développement durable intégré. Il a également souligné que les industries créatives constituent un secteur vital qui produit actuellement 29,5 millions d’emplois directs au profit des jeunes âgés de 15 à 29 ans, et que sur la base de cette prise de conscience commune, les deux organisations s’emploient à faire de la culture un moteur de développement durable pour ses États membres, y compris l’attribution et le soutien du rôle des femmes créatives.

    Le chef du Secteur de la Culture et de la Communication a expliqué que les industries créatives à distance ont connu une évolution de plus de 34% en termes de demande d’abonnements vidéo, ce qui a amené l’ICESCO à aborder les questions de politiques culturelles dans une nouvelle perspective cohérente avec les transformations dont témoigne « l’économie mauve », qui est une alternative fondamentale aux économies en transformation, non moins précieuse que l’économie verte, l’économie bleue, l’économie numérique, l’économie solidaire et sociale, et dont l’emploi ne peut que contribuer à la construction unique du concept de richesse humaine à la fois symbolique et financière dans les pays du monde islamique.

    Il a affirmé que la création récente par l’ICESCO du « Centre des politiques holistiques pour la promotion de la réalité culturelle » et du « Laboratoire international : la culture pour repenser le monde » atteste de sa volonté de faire face aux défis culturels qui se présentent aujourd’hui, de son intérêt pour la transformations dont elle est témoin et de sa détermination de donner à la dimension du développement créatif une priorité absolue, au moyen d’études, de recherches et d’approches scientifiques qualitatives et quantitatives contemporaines.

    Lors de la Conférence sur les politiques culturelles et le développement au Mexique : l’ICESCO passe en revue ses efforts pour renforcer la présence de la culture et de la paix dans le monde

    Au nom de Dr Salim M. AlMalik, Directeur général de l’Organisation du Monde Islamique pour l’Éducation, les Sciences et la Culture (ICESCO), Dr Abdelilah Benarafa, Directeur général adjoint, a prononcé le discours de l’ICESCO à la Conférence mondiale de l’UNESCO sur les politiques culturelles et le développement durable (Mondiacult 2022), dans lequel il a affirmé que l’Organisation œuvre à contribuer à la réalisation des Objectifs de Développement durable relatifs au patrimoine culturel, à travers la promotion des industries culturelles et créatives, et de l’économie culturelle numérique, ainsi que la contribution à la création d’un marché de travail virtuel et interactif, plus interconnecté et à forte valeur ajoutée.

    Dans ce discours prononcé lors de la conférence, qui s’est tenue du 28 au 30 septembre 2022 par l’UNESCO à Mexico, et a vu la participation d’un certain nombre de ministres des affaires culturelles, de représentants d’organisations internationales spécialisées et d’une élite de personnalités culturelles, littéraires et artistiques, Dr Benarafa a indiqué que l’ICESCO a également assumé la responsabilité de promouvoir l’agenda « culture et développement » et démontrer les liens entre la culture et les aspirations des individus à construire et restaurer la paix.

    Il a également précisé que l’ICESCO contribue à créer un concept de culture, en coopération avec des auteurs et des chercheurs, et mène des études, des recherches et des analyses dans le but d’accroître la recherche sur les significations renouvelées de la culture numérique et des industries culturelles et créatives, en relation avec le PIB, les indicateurs de croissance, les questions de performance et de genre, ainsi que le statut de l’artiste et du créateur.

    De même, il a souligné que l’ICESCO a publié plusieurs documents fonctionnels en arabe, français et anglais sur les questions liées à la médiation et aux droits culturels, le rôle de la société civile dans la promotion du dialogue et de la paix, et les engagements pour la culture et la ville, et que ces documents ont permis de créer de nouvelles institutions dans un certain nombre d’États membres qui ont repensé les politiques culturelles.

    Il a conclu son allocution en notant que l’ICESCO travaille avec nombre de ses États membres sur les questions abordées par la Conférence mondiale sur les politiques culturelles et le développement durable, à travers le « Think tank international : la culture pour repenser le monde », ainsi que le « Centre international des politiques globales pour améliorer la réalité culturelle », et que l’ICESCO vise à coopérer et à travailler conjointement avec l’UNESCO, afin de renforcer la présence de la culture et de la paix dans le monde.

    Examen des perspectives de coopération entre l’ICESCO et l’OEACP

    Dr Abdelilah Benarafa, Directeur général adjoint de l’Organisation du Monde Islamique pour l’Éducation, les Sciences et la Culture (ICESCO), M. Georges Rebelo Pinto Chikoti, Secrétaire général de l’Organisation des pays d’Afrique, des Caraïbes et du Pacifique (OEACP), M. Norbert Richard Ibrahim, Sous-secrétaire général, et la délégation qui les accompagne, ont tenu une réunion pour examiner les perspectives de coopération entre les deux organisations dans des domaines d’intérêt commun, notamment la culture.

    Au début de la rencontre, qui a eu lieu mercredi 28 septembre 2022 à Mexico en marge de leur participation à la Conférence mondiale de l’UNESCO sur les politiques culturelles et le développement durable (Mondiacult 2022) au Mexique, en présence de Dr Mohamed Zinelabidine, Chef du Secteur de la Culture et de la Communication à l’ICESCO, Dr Benarafa a passé en revue la nouvelle vision et les orientations stratégiques de l’ICESCO, ainsi que les principaux programmes et activités qu’elle met en œuvre pour soutenir les efforts de ses États membres dans le développement des domaines de l’éducation, des sciences et de la culture.

    De son côté, M. Georges Rebelo Pinto Chikoti, a salué le rôle de pionnier de l’ICESCO dans l’amélioration des conditions culturelles dans les États membres, notamment dans le domaine de la préservation et de la valorisation du patrimoine culturel. Il a également exprimé sa volonté que l’OEACP adhère à l’ICESCO en tant que membre observateur.
    Il convient de rappeler que l’OEACP compte 78 États membres (48 pays d’Afrique subsaharienne, 16 des Caraïbes et 15 du Pacifique)

    La délégation de l’ICESCO s’entretient avec des responsables de l’action culturelle à la conférence de l’UNESCO au Mexique

    En marge de sa participation à la Conférence mondiale de l’UNESCO sur les politiques culturelles et le développement durable (Mondiacult 2022) au Mexique, Dr Abdelilah Benarafa, Directeur général adjoint de l’Organisation du Monde Islamique pour l’Éducation les Sciences et la Culture (ICESCO), s’est entretenu avec nombre de responsables de l’action culturelle participant à la conférence, et a souligné la volonté de l’ICESCO de renforcer la coopération avec tous.

    À l’issue de la séance d’ouverture de la conférence, tenue le mercredi 28 septembre 2022 à Mexico, Dr Benarafa s’est entretenu avec Son Altesse le Prince Badr ben Abdullah ben Mohammed ben Farhan Al Saoud, ministre de la Culture et Président de la Commission nationale de l’éducation, des sciences et de la culture au Royaume d’Arabie Saoudite, qui a salué les relations de coopération remarquables entre l’ICESCO et l’Arabie Saoudite dans le domaine culturel, tandis que la délégation de l’ICESCO a affirmé la volonté de l’Organisation de poursuivre cette coopération.

    Le Directeur général adjoint de l’ICESCO a également échangé avec Mme Audrey Azoulay, Directrice générale de l’Organisation des Nations Unies pour l’éducation, la science et la culture (UNESCO), sur la coopération entre les deux organisations et les moyens de la renforcer pour servir les États membres.

    Il convient de rappeler que la délégation de l’ICESCO à la Conférence (Mondiacult 2022) se compose également de Dr Mohamed Zinelabidine, Chef du Secteur de la Culture et de la Communication.

    Le Directeur général de l’ICESCO reçoit l’ambassadeur de l’Union des Comores à Rabat

    Dr Salim M. AlMalik, Directeur général de l’Organisation du Monde Islamique pour l’Éducation les Sciences et la Culture (ICESCO) a reçu M. Yahaya Mohamed Iliassa, ambassadeur de l’Union des Comores auprès du Royaume du Maroc. Les deux responsables ont examiné les moyens de développer et renforcer la coopération entre l’ICESCO et l’Union des Comores en matière d’éducation, de sciences et de culture.

    Au début de la rencontre, du 28 septembre 2022, Dr AlMalik a souligné la volonté de l’Organisation de renforcer la coopération et le partenariat avec l’Union des Comores, dans le cadre de sa nouvelle vision et orientations stratégiques, qui portent sur l’ouverture et la communication avec les États membres, ainsi que le lancement et mise en œuvre de programmes et projets qui répondent aux besoins de ces États, relevant des domaines de l’éducation, des sciences et de la culture.

    Dr AlMalik a aussi précisé que l’ICESCO accorde une importance majeure à la consolidation des valeurs de paix et de dialogue civilisationnel, au renforcement des capacités des femmes et des jeunes, à la promotion de l’investissement dans les sciences spatiales et la recherche scientifique. L’ICESCO soutient également les efforts de ses États membres pour tirer profit des capacités des technologies modernes et des applications de l’intelligence artificielle, afin de parvenir au développement durable, a-t-il ajouté.

    De son côté, l’ambassadeur de l’Union des Comores a salué les rôles remarquables de l’ICESCO visant à soutenir ses États membres dans ses domaines de compétence, et ses efforts pour renforcer la paix et l’ouverture, et présenter la vraie image de l’Islam. Il a également souligné que son pays vise à développer la coopération avec l’ICESCO et mettre en place nombre de projets conjoints dans les domaines de l’éducation, des sciences et de la culture.

    Cette rencontre a vu la présence de Mme Amira ElFadil, Cheffe du Secteur des Partenariats et de la Coopération internationale, et de M. Najib Rhiati, conseiller culturel du Directeur général de l’ICESCO.

    Examen des derniers développements de la coopération entre l’ICESCO et le Gabon dans plusieurs domaines

    L’Organisation du Monde Islamique pour l’Éducation, les Sciences et la Culture (ICESCO) a tenu une réunion avec une commission composée de hauts responsables de plusieurs ministères de la République gabonaise, afin de mettre au point des programmes et initiatives conjoints visant à développer la coopération entre ICESCO et le Gabon.

    Au cours de la réunion, qui s’est tenue lundi 26 septembre 2022 par visioconférence, des propositions de programmes et de projets à mettre en œuvre conjointement ont été discutées, notamment ceux liés au renforcement des capacités des femmes, des jeunes et des groupes vulnérables, au dialogue civilisationnel, à la promotion de la paix, à l’encouragement de la recherche scientifique par la création de chaires scientifiques de l’ICESCO dans les universités gabonaises, à l’éducation de qualité pour tous, à la préservation du patrimoine et à la valorisation de la culture locale dans le but de contribuer à l’atteinte tant des objectifs de développement durable que des objectifs stratégiques de l’ICESCO.

    L’ICESCO a été représentée lors de cette réunion par Mme Ramata Almamy Mbaye, cheffe du Secteur des Sciences sociales et humaines, par M. Mohamed Hedi Shili, chef du Département des Affaires juridiques et des Normes internationales, et par Mme Jihane El Assimi, responsable comptable au Département des Affaires financières, tandis que de la Commission gabonaise comprenait M. Serge Kratha, directeur de cabinet du ministre gabonais de l’Enseignement supérieur, de la Recherche scientifique, du Transfert de Technologie et de l’Éducation nationale, et les représentants de la Commission nationale gabonaise pour l’éducation, les sciences et la culture, du Ministère du Budget et des Comptes publics, du Ministère des Sports et du Ministère du Commerce et des petites et moyennes Entreprises.

    Lancement à Tunis de l’atelier sur les nouvelles tendances en matière de planification de l’éducation

    Lundi 26 septembre 2022, a été lancé l’atelier sur le renforcement des compétences des professionnels de la planification de l’éducation en matière de nouvelles tendances de la planification de l’éducation, tenu par l’Organisation du Monde Islamique pour l’Éducation les Sciences et la Culture (ICESCO), en coopération avec la Commission nationale tunisienne pour l’éducation, les sciences et la culture, sous les auspices de son président, Dr Fethi Sellaouti, ministre tunisien de l’Éducation.

    L’atelier durera quatre jours et vise à développer les capacités des professionnels de la planification de l’éducation, des responsables des unités de planification du ministère de l’Éducation, du ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, du Centre national d’éducation des adultes, et des organismes compétents de la République Tunisienne, et de leur fournir l’expertise et les compétences avancées nécessaires. Il s’agira également de partager les nouvelles connaissances relatives aux méthodologies, processus et techniques de planification de l’éducation et de renforcer la culture de planification, pour contribuer au développement des systèmes éducatifs.

    L’ouverture de l’atelier s’est déroulée en présence de Dr Ahmed El Zonfoli, directeur de programmes au Secteur de l’Éducation à l’ICESCO, qui a souligné l’importance de cet atelier, en espérant qu’il atteindrait ses objectifs de développement des capacités des planificateurs de l’éducation, afin de contribuer efficacement au développement éducatif souhaité. Du côté de la Commission nationale, Dr Kamal Hajjem, Secrétaire général de la Commission, a pris part à l’ouverture et salué dans son allocution le rôle de l’ICESCO dans le développement des systèmes éducatifs et son soutien à ses États membres.

    Les sessions de l’atelier portent sur les étapes, procédures et méthodes de la planification de l’éducation, les mécanismes de son application pratique, les nouvelles tendances dans les méthodes et procédures de planification de l’éducation, et la manière de les investir pour améliorer le développement des systèmes éducatifs et assurer leur qualité. Elles seront également axées sur l’utilisation de la planification stratégique en éducation, les conditions de réussite du processus de planification de l’éducation, la planification de l’éducation en temps de crise, le partage de l’expertise et des expériences des participants dans la pratique de la planification de l’éducation, et les problèmes auxquels ils sont confrontés en réalité.

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