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    L’ICESCO : construire un avenir radieux pour le monde islamique dépend du développement des établissements d’enseignement religieux

    23 mai 2022

    Dr Salim M. AlMalik, Directeur général de l’Organisation du Monde Islamique pour l’Éducation, les Sciences et la Culture (ICESCO) a souligné qu’il existe des défis majeurs qui entravent encore les facultés de charia et d’études islamiques et les universités modernes spécialisées dans les sciences de la charia dans le monde islamique, de remplir les rôles qui leur incombent, ceux de relier le passé glorieux de cette Oumma à son présent, d’anticiper son avenir prospère, et de surmonter l’état de différence flagrante entre un riche patrimoine scientifique et civilisationnel riche et des sciences modernes en constant développement, pour assurer le progrès et la prospérité de l’humanité.

    Ces propos relèvent du message vidéo du Directeur général adressé lors de la séance d’ouverture du Sommet international sur l’éducation islamique dans le monde moderne : défis, tendances et possibilités, tenu dans le cadre du quatrième Forum international de Bolgar sur le patrimoine religieux des musulmans en Russie, et dont les travaux ont commencé samedi 21 mai 2022.

    Le Directeur général a également indiqué que les réformateurs de plusieurs pays islamiques se sont rendus compte, il y’a au moins deux siècles, que pour parvenir à l’indépendance culturelle et religieuse de la Oumma islamique, il faut mener une réforme religieuse qui valorise et se base sur le patrimoine scientifique islamique, à travers la réforme des programmes d’enseignement des universités du monde islamique et la création d’universités islamiques qui rivalisent avec les universités internationales les plus prestigieuses et adoptent une approche islamique intégrée.

    Et d’ajouter que les réformateurs musulmans russes étaient les premiers à discuter de la situation de l’éducation dans leur pays (la Russie), comme en témoignent des preuves certifiées de manière scientifique et médiatique depuis le début du XXème siècle.

    Dr AlMalik a également indiqué qu’il est nécessaire d’examiner les objectifs et les fonctions de l’enseignement islamique contemporain, notamment l’éducation religieuse, la production intellectuelle et la recherche scientifique, avant de chercher les moyens de le développer. Pour ce faire, a-t-il ajouté, il convient d’œuvrer au développement de la culture arabo-islamique et à l’instauration d’une culture de dialogue moderne pouvant contribuer au progrès de la pensée humaine dont les protecteurs seront les savants musulmans, et ce, à travers la réforme des programmes et outils pédagogiques, et la promotion de l’enseignement des langues étrangères vivantes et des différentes sciences juridiques, humaines et sociales.

    Pour clôturer son discours, Dr AlMalik a souhaité plein succès aux travaux du Sommet, en espérant qu’il soit l’occasion de sortir avec des visions innovantes et des propositions applicables afin d’améliorer la performance des établissements d’enseignement religieux, compte tenu de l’importance majeure de cette étape.

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