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    Dr AlMalik : L’ISESCO s’engage à permettre à faire profiter ses Etats des technologies de l’intelligence artificielle

    19 novembre 2019

    Dr Salim M. AlMalik, Directeur général de l’Organisation islamique pour l’Education, les Sciences et la Culture (ISESCO), a déclaré que l’Organisation s’engage à faire profiter ses Etats membres des technologies de l’intelligence artificielle, et à leur apporter le soutien nécessaire pour l’élaboration de leur propres politiques en la matière.

    Cette déclaration a été prononcée lors de sa participation en tant qu’orateur principal au Forum tenu dans la soirée du lundi à Paris, sous le titre : « La voix de la jeunesse et l’avenir de l’intelligence artificielle : Vers une approche centrée sur l’humain », en marge de la 40ème Conférence générale de l’UNESCO.

    Le Forum a vu la participation des personnalités suivantes : M. Angel Gurria, Secrétaire général de l’Organisation de la Coopération et du Développement économique (OCDE) ; Mme Amani Abou-Zeid, Commissaire à l’infrastructure et à l’énergie de la Commission de l’Union africaine ; M. Marc Antoine Dilhac, Coordinateur et Directeur de la Déclaration de Montréal pour un développement responsable de l’Intelligence artificielle ; Mme Clara Neppel, Directrice de l’Institut des ingénieurs électriciens et électroniciens (IEEE), en plus de Dr AlMalik. La rencontre a été modérée par Mme Delfina Bello, étudiante à l’Institut des études politiques.

    En réponse à la question : « A votre avis, pourquoi est-il important de développer les principes d’élaboration de normes dans le domaine d’intelligence artificielle ? », Dr AlMalik a expliqué que l’ISESCO œuvre actuellement à renforcer la coopération avec l’UNESCO dans les domaines d’intérêt commun, notamment l’intelligence artificielle. De même, il a souligné qu’il s’agit d’un phénomène à forte croissance, qui permettra aux Etats de réaliser les objectifs de développement durable, mais qui constitue également une menace réelle pour les droits de l’homme si elle ne fait pas l’objet de contrôle. Par conséquent, a-t-il ajouté, il conviendra de développer les principes d’élaboration de normes afin de préserver et protéger les droits de l’homme dans le court, le moyen et le long termes.

    L’un des participants a posé à Dr AlMalik la question suivante : « A l’ISESCO vous opérez dans plusieurs secteurs, l’intelligence artificielle étant une technologie qui soulève des controverses et se recoupe avec les sciences, l’enseignement, la culture, les médias et la communication. Comment, selon l’ISESCO, peut-on assurer la mise en place transversale et globale des normes y afférentes, à la lumière des multiples domaines d’action des organisations telles que la vôtre ? » Le Directeur général a répondu que la plupart des Etats du monde islamique consomment l’intelligence artificielle, en l’absence de laquelle ils seront en retard par rapport aux autres pays du monde. Dans le cadre de la nouvelle vision de l’ISESCO, la promotion de cette technologie dans les Etats membres est une priorité absolue.

    Et d’ajouter : Notre principal objectif est la mise en place d’un écosystème vital et actif afin de développer la société et de venir en aide aux personne nécessiteuses. En effet, l’intelligence artificielle a le pouvoir de résoudre les questions socioéconomiques si elle est adéquatement utilisée, aux côtés des politiques et règlements y afférents. Pour ce faire, l’ISESCO met l’accent sur la sensibilisation et l’orientation des Etats afin de réduire le fossé numérique actuel et de soutenir les Etats membres, en établissant une meilleure coopération entre les parties prenantes à tous les niveaux.

    Dr AlMalik a écouté une autre question sur le rôle de l’ISESCO dans le soutien à la diffusion future de l’intelligence artificielle, à laquelle il a répondu que l’Organisation a créé le Centre de prospection stratégique pour appuyer son agenda en réponse aux besoins futurs, y compris le rôle de l’intelligence artificielle. Ce Centre lancera la stratégie de développement de l’intelligence artificielle en tant qu’initiative d’orientation dans le monde islamique, en plus de certaines initiatives déjà en place dans peu d’Etats membres.

    Dr AlMalik a également souligné que l’ISESCO s’engage à faire profiter les Etats membres de cette nouvelle technologie, en apportant l’appui nécessaire à l’élaboration de leurs politiques nationales en la matière. En même temps, a-t-il précisé, l’ISESCO organisera un forum d’envergure sur l’intelligence artificielle, dont j’espère sincèrement que l’OCDE, l’Institut des ingénieurs électriciens et électroniciens (IEEE) et tous les pays et organisations feront partie.

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