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    Le Directeur général adjoint de l’ICESCO appelle à accorder l’attention appropriée à la poésie mystique

    27 avril 2024

    Dr Abdelilah Benarafa, Directeur général adjoint de l’Organisation du Monde Islamique pour l’Éducation, les Sciences et la Culture (ICESCO) a appelé à accorder l’attention nécessaire à la poésie mystique ou soufie en tant que forme de poésie arabe, telle que le madih’, estimant que malgré son importance dans la vie des musulmans au fil de l’histoire, ce genre n’a pas reçu l’attention qu’il mérite dans les livres sur l’histoire de la littérature arabe et les programmes d’éducation publique.

    Ces déclarations relèvent de son intervention scientifique intitulée : « La poésie mystique, traductrice de la connaissance divine », présentée vendredi 26 avril 2024 au séminaire scientifique du Festival international de la poésie à la Faculté de la langue arabe de l’Université Qadi Ayyad de Marrakech, organisé par la Maison de la poésie au Maroc, en partenariat avec le ministère de la Jeunesse, de la Culture et de la Communication, l’ICESCO et la Mairie de Marrakech, dans le cadre de la célébration de la ville ocre, capitale de la culture dans le monde islamique pour 2024, sous le haut patronage de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, que Dieu l’assiste.

    Après avoir passé en revue les étapes historiques du madih’, Dr Benarafa a expliqué la différence entre celui-ci et la poésie soufie, en soulignant les caractéristiques et les figures marquantes de cette dernière. Et d’ajouter que la poésie soufie est l’expression de conditions, de positionnements, de conquêtes, de styles et de degrés d’éducation et de conduite, et qu’elle peut s’élever et se transcender selon les grands connaisseurs (d’Allah) jusqu’à devenir une pure poésie mystique, axée sur les étapes du véritable savoir et sur les rangs de l’existence.

    Il convient de préciser que des poètes de Palestine, d’Arabie saoudite, d’Azerbaïdjan, d’Égypte, de Türkey, du Bahreïn, du Sénégal, de Tunisie, du Bangladesh, de Mauritanie, du Yémen, du Mali, de Djibouti et du Maroc, prennent part au festival mondial de la poésie de trois jours placé sous le thème : « Marrakech : Le poème renouvelé ».

    L’agenda prévu comprend l’organisation de deux colloques scientifiques, un certain nombre d’activités culturelles, artistiques et éducatives dans les sites historiques de Marrakech, ainsi que le lancement de deux concours d’écriture de poésie pour les élèves et les étudiants.

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