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    La 1ère réunion consultative sur l’indicateur du savoir dans les pays islamiques conclut ses travaux au siège de l’ICESCO

    23 décembre 2022

    Lors de la dernière journée de la 1ère réunion consultative sur « Les indicateurs stratégiques de développement dans le monde islamique : indicateur du savoir comme modèle » tenue par l’Organisation du Monde Islamique pour l’Éducation, les Sciences et la Culture (ICESCO), en partenariat avec la Fondation Mohammed Bin Rashid Al Maktoum pour le savoir et le Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD), les participants ont proposé des idées innovantes et fait des propositions d’élaboration d’initiatives pratiques pour contribuer à la promotion de l’économie du savoir. Ils ont également examiné, durant les deux jours de la réunion, l’indicateur mondial du savoir, utilisé pour mesurer la performance des pays en matière du savoir, et comprendre les transformations et les défis auxquels ils font face.

    Cette journée (jeudi 22 décembre 2022) a vu la participation de Dr Mohamed Ayman Ashour, ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique en République Arabe d’Égypte, des délégations des États membres de l’ICESCO, et des représentants de la Fondation Mohammed Bin Rashid Al Maktoum pour le savoir et du PNUD. Au début, Dr Salim M. AlMalik, Directeur général de l’ICESCO, a souhaité la bienvenue à tous les participants et précisé que cette journée sera spéciale car les travaux de ses séances se dérouleront de manière unique, sous forme d’ateliers de réflexion, pour parvenir à des propositions qui permettront aux économies des pays du monde islamique d’être basées sur le savoir, et se classer parmi les premiers dans l’indicateur du savoir.

    Par la suite, une séance de réflexion a été tenue pour mettre en place des propositions sur les questions de l’enseignement préuniversitaire. À cet égard, Mme Najwa Ghris, experte au PNUD, a indiqué que l’indicateur du savoir repose sur le capital de savoir et l’environnement propice, Dr Koumbou Barry, Cheffe du Secteur de l’Éducation de l’ICESCO, a présenté les initiatives de l’Organisation visant à assurer une éducation de qualité pour tous, à partir d’une vision globale fondée sur le principe que les valeurs humaines sont la base de l’éducation, et Mme Ramata Alamamy Mbaye, Cheffe du Secteur des Sciences humaines et sociales de l’ICESCO, a souligné qu’il faut comprendre les facteurs de changement de la société, contribuer à améliorer le comportement des individus, et promouvoir la santé mentale pour édifier des sociétés du savoir.

    La deuxième séance de réflexion était consacrée à l’élaboration de propositions sur les questions de l’enseignement supérieur. À cet effet, Dr Hani Tutki, Conseiller technique principal, Directeur du projet du savoir au PNUD, a présenté les statistiques relatives à l’indicateur du savoir, en expliquant que le taux des données manquantes des États membres de l’ICESCO relatives à l’enseignement supérieur est supérieur à celles relatives à l’enseignement préuniversitaire. Dr Omar Halli, Conseiller du Directeur général de l’ICESCO à la Fédération des Universités du Monde islamique (FUMI), a déclaré que les sources du savoir sont aujourd’hui diverses et nombreuses, mais que les universités sont considérées comme des espaces importants de soutien au savoir, à travers l’innovation et la recherche scientifique, tandis que Dr Driss Ouaouicha, ancien ministre délégué chargé de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique du Royaume du Maroc, a souligné que la mesure de l’indicateur du savoir à travers la collecte de données est très importante afin de l’améliorer dans les pays du monde islamique.

    Au cours de la troisième séance de réflexion dédiée aux propositions relatives aux questions de l’enseignement technique, Dr Yussuf Siddiq, expert au PNUD, a souligné la nécessité de discuter des métiers de demain et d’anticiper l’avenir du marché du travail pour parvenir à des propositions pouvant améliorer l’indicateur du savoir dans le monde islamique, il a également expliqué en détails le sous-indicateur de l’enseignement technique et de la formation professionnelle. De son côté, Dr Raheel Qamar, Chef du Secteur des Sciences et de la Technologies de l’ICESCO, a passé en revue les initiatives du Secteur pour suivre les progrès technologiques rapides, et précisé qu’il est important d’adopter une réflexion critique et l’innovation pour y parvenir.

    Au terme de chaque séance, les participants se divisaient en trois groupes de travail, par langue : arabe, française et anglaise, pour sortir avec des idées et des propositions permettant d’élaborer les grandes lignes des initiatives relatives aux questions traitées au cours des séances. Ensuite, il a été procédé à la présentation des principales propositions pour figurer parmi les recommandations de la réunion.

    De même, une séance consultative a eu lieu avec les Secrétaires généraux des Commissions nationales pour l’éducation, les sciences et la culture des États membres de l’ICESCO, afin d’examiner le renforcement de la participation des pays islamiques à l’indicateur mondial du savoir. Cela a été suivi d’une séance de clôture pour présenter les principaux résultats de la réunion consultative.

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