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    AlMalik : L’enseignement supérieur et la recherche scientifique sont confrontés à des défis majeurs dans la plupart des pays du monde islamique

    2 février 2020

    ** La FUMI devrait être un vecteur de coopération et de coordination

    Dr Salim M. AlMalik, Directeur général de l’Organisation du Monde Islamique pour l’Education, Les Science et la Culture (ICESCO), Secrétaire général de la FUMI, a déclaré qu’afin que les universités puissent jouer pleinement leur rôle central dans la réalisation du développement durable dans le monde islamique, la Fédération doit servir de vecteur de coopération et de coordination entre ces universités, au milieu de l’évolution économique mondiale galopante et de la demande croissante de ressources humaines capables d’intégrer le nouveau marché du travail basé sur la dépendance croissante des TIC et de l’IA.

    Dans son allocution à la séance d’ouverture de la 23ème session du Conseil exécutif de la FUMI, qui a débuté à Sharjah dans l’Etat des Emirats Arabes Unis et se poursuivra pendant deux jours, Dr AlMalik a déclaré que l’un des objectifs de la Fédération était de s’efforcer, grâce à la coopération et à la coordination entre les universités, à combler les lacunes et partager l’expertise et les expériences. Cependant, Dr AlMalik a déploré qu’après plusieurs décennies de travail, seulement 347 universités du monde islamique ont rejoint la Fédération, et que sur 1.150 universités de la région arabe, seulement un tiers est membre de la FUMI, ce qui constitue un très petite partie du nombre total des universités du monde islamique.

    En outre, le Directeur général de l’ICESCO a souligné que dans le cadre de la vaste expansion de l’enseignement supérieur dans le monde et de la concurrence croissante entre tous les modes de l’enseignement universitaire, l’enseignement supérieur et la recherche scientifique dans la plupart des pays du monde islamique sont confrontés à divers problèmes et défis, tels que les priorités et stratégies insuffisamment claires de l’enseignement supérieur, le sous-financement, le manque de sensibilisation à l’importance de la nouvelle recherche scientifique, le manque des opportunités de réseautage et des bases de données, la portée limitée de la coopération internationale et la fuite du capital humain vers les pays industriellement et technologiquement avancés.

    Dans la même veine, Dr AlMalik a souligné que des efforts seront déployés pour faire progresser l’enseignement supérieur dans les pays du monde islamique, dans le cadre de la nouvelle vision de l’ICESCO à travers laquelle les organisations cherchent à devenir un phare de rayonnement mondial. Ces efforts, a-t-il ajouté, comprennent la focalisation sur les questions de développement durable, d’éradication de la pauvreté, de lutte contre l’extrémisme et les discours de haine, d’autonomisation des femmes et des jeunes, de soutien à la société civile, d’éducation pour les réfugiés et les déplacés, de préservation du patrimoine et de mise à profit de l’évolution fulgurante de l’IA, ainsi que des modes futurs de l’enseignement. Le but est de faire de la Fédération une plateforme de connaissance et de science et un vecteur de coopération et de coordination.

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