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    A l’occasion de la Journée mondiale de l’enfance : L’ISESCO appelle le monde islamique à renforcer le cadre juridique et de droits dans le traitement des questions de l’enfance

    20 novembre 2019

    Le monde célèbre, aujourd’hui 20 novembre, la journée mondiale de l’enfance. Cette importante manifestation met l’accent sur les principaux défis et violations auxquels les enfants du monde entier sont confrontés, le but étant d’aboutir à des propositions et recommandations à même de relever ces défis et de mettre fin à ces violations, de promouvoir et protéger les droits de cette catégorie sociale et d’assurer, par et pour les enfants, leur participation à l’élaboration des plans et projets nationaux. Il s’agit aussi de respecter leurs points de vue en termes de leurs droits, de contrôler, prévenir et faire face à la violence contre eux et de leur assurer l’éducation, l’enseignement, la santé, la réforme et l’insertion sociale.

    A cette occasion, l’Organisation islamique pour l’Education, les Sciences et la Culture (ISESCO), a publié un communiqué dans lequel elle a déclaré avoir mis le doigt sur un ensemble de défis et obstacles auxquels les enfants du monde islamique sont confrontés. Il s’agit, entre autre, de ce qui suit : augmentation de la mortalité infantile (moins de 5 ans) ; faiblesse de la scolarité primaire ; inégalité des sexes en matière d’enseignement ; addiction ; violence ; abus sexuel ; malnutrition ; et enclavement dans les zones de conflits violents.

    C’est ainsi que l’ISESCO a appelé tous les Etats membres, leurs institutions gouvernementales et leurs ONGs fédérer les efforts pour renforcer les engagements internationaux, en approuvant, le cas échéant, le « Pacte des droits de l’enfants en Islam », les protocoles internationaux et régionaux afférents à la protection des enfants, y compris la « Convention de lutte contre la torture et les autres peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants » et son protocole facultatif, les « Conventions 138 de l’OIT sur l’âge minimum d’admission à l’emploi, et 132 sur les pires formes de travail des enfants », la « Conventions des Nations Unies contre la criminalité transnationale organisée » et son « Protocole additionnel des Nations unies visant à prévenir, réprimer et punir la traite des personnes, en particulier des femmes ».

    Aussi l’ISESCO, dans son communiqué, a-t-elle appelé les institutions et instances dans tous les Etats membres à promouvoir le cadre juridique et de droits dans le traitement des questions de l’enfance, toutes régions confondues. Pour ce faire, il s’agit de mettre l’accent sur les quartiers marginalisés dans les zones urbaines, rurales éloignée et dépourvues de services, et d’intégrer le concept de culture de non-violence dans les cursus de tous les cycles de l’enseignement.

    De surcroît, l’Organisation a incité les Etats membres à accélérer la mise en place de stratégies et plans d’action pour faire face à toute forme de violence à l’encontre des enfants, traiter les causes originales de cette violence, et sensibiliser aux droits des enfants et à la culture de non-violence, ce qui permettra de renforcer ces engagements et de les hisser au rang de principes juridiques exécutoires. Elle a également indiqué que les résolutions des différentes sessions de sa Conférence islamique des Ministres chargés de l’Enfance, ainsi que les résolutions y afférentes des Nations Unies, constituent le cadre adéquat pour les acteurs de la protection de l’enfance.

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